Logo de l'épisode FAQ #8 : Vendre avec humour ; être crédible à 19 ans ; déléguer ses tâches du podcast Marketing Mania - Conversations d'entrepreneurs

FAQ #8 : Vendre avec humour ; être crédible à 19 ans ; déléguer ses tâches

Épisode diffusé le 20 avril 2021 par Marketing Mania

Écouter l'épisode :

Réussir sur YouTube : faut-il se spécialiser ou miser sur sa personnalité ?

La première question nous vient d’Alex, qui souhaite lancer une chaîne YouTube axée sur le développement personnel en parallèle de son activité de dropshipping. Il se demande s’il est indispensable de se spécialiser et s’il est possible de mélanger sérieux et humour sans perdre en crédibilité. C’est une excellente interrogation qui touche au cœur de la stratégie de contenu sur YouTube.

La spécialisation pour vendre : le concept du problème dur

Globalement, il est très important de se spécialiser sur YouTube si votre objectif final est de vendre un produit, comme des formations ou du coaching. La raison est simple et tient au concept que j’appelle le « problème dur » : un problème qui est à la fois douloureux, urgent et reconnu par la personne qui le vit. Comme je le dis souvent, « les gens n’achètent pas des formations ou du coaching tous les jours ». Ils le font uniquement lorsqu’ils sont confrontés à un problème spécifique et particulièrement handicapant dans leur vie.

Si vous voulez vendre, il est donc crucial de comprendre précisément à quelle audience vous vous adressez et quel problème vous résolvez. Si votre chaîne aborde des sujets variés au gré de vos envies, vous aurez du mal à attirer une audience unie par un problème dur spécifique. Par conséquent, vendre une formation ciblée deviendra bien plus complexe.

Personnalité et humour : les clés pour bâtir une audience engagée

Cependant, le concept de problème dur relève plus du copywriting et de la conversion que de la mécanique de YouTube elle-même. La question est donc : faut-il obligatoirement se spécialiser pour faire des vues et créer une chaîne intéressante ? La réponse est non. Il est important d’avoir un format et une audience cible clairs, pour que les gens sachent à quoi s’attendre en s’abonnant. Mais cela ne signifie pas que vous devez vous cantonner à un seul sujet.

Prenez l’exemple de MrBeast, l’un des plus grands youtubeurs au monde. Il aborde de nombreux sujets, mais sépare ses contenus par format sur différentes chaînes (gaming, philanthropie, vidéos courtes) pour ne pas dérouter son audience. Ce qui lie finalement son audience, au-delà des formats, c’est sa personnalité.

Cela nous amène à la question de l’humour. Est-ce un avantage ? Absolument. La plupart des grandes chaînes YouTube intègrent une dimension de divertissement et d’humour. C’est un excellent moyen de créer une connexion et de fidéliser une audience de fans. Bien sûr, il y a un équilibre à trouver. Un vieux dicton marketing dit que « personne ne veut acheter chez un clown ». Des youtubeurs comme Matt D’Avella intègrent des touches d’humour dans un contenu sérieux, tandis que Captain Sinbad a fait décoller sa chaîne grâce à des sketchs. À l’extrême, un créateur comme Vegetable Police va si loin dans l’humour qu’il devient difficile de le prendre au sérieux pour des conseils en nutrition.

Pour Alex, la décision dépend de l’objectif. Si la chaîne est un projet passion pour partager et construire une communauté, alors l’humour et une variété de sujets liés par votre personnalité sont des atouts majeurs. Si l’objectif est de vendre des produits, une spécialisation sur un problème dur sera plus efficace, et l’humour devra être utilisé avec plus de parcimonie.

Freelance ou entrepreneur : quelle est la meilleure voie pour devenir nomade digital ?

Jonathan s’interroge sur le meilleur chemin pour atteindre le style de vie de nomade digital tout en ayant un impact : faut-il développer une compétence en freelance avant de potentiellement créer son propre business, ou se lancer directement dans l’entrepreneuriat ?

Le besoin du marché : l’avantage clé du freelancing

Le point le plus important à considérer ici est le concept de « besoin du marché ». Il ne s’agit pas seulement de choisir ce que vous avez envie de faire, mais de se positionner là où il y a une demande existante. Comme je le répète souvent, « tu as envie de vendre aux gens ce qu’ils ont envie d’acheter ».

Un freelance se positionne généralement sur des flux financiers déjà établis. Que vous soyez consultant en Facebook Ads, développeur web ou designer, vous offrez un service pour lequel les clients ont déjà l’habitude de payer. Vous n’avez pas besoin de créer un nouveau besoin. Un entrepreneur, en revanche, doit souvent créer un nouveau cash-flow, une nouvelle dynamique, ce qui demande plus d’innovation et de prise de risque. Un freelance a besoin de beaucoup moins de clients pour vivre ; parfois un seul suffit, ce qui est rarement le cas pour un produit.

Pour toutes ces raisons, le freelancing est généralement la voie la plus rapide et la plus fiable pour atteindre le lifestyle du nomade digital. Le principal inconvénient, la limitation de la croissance par le temps disponible, ne se pose que bien plus tard. Au début, le défi est le même pour tous : trouver des clients.

La discipline entrepreneuriale : se confronter rapidement à la réalité

L’un des plus grands avantages de commencer par le freelancing est que cela vous force à vous confronter à la réalité du marché. Les entrepreneurs débutants peuvent facilement « vivre dans les nuages pendant des mois ou voir des années », perfectionnant une idée sans jamais la valider auprès de clients potentiels.

Un freelance ne peut pas se cacher. Dès les premières semaines, il doit répondre à des questions concrètes : qui sont mes clients ? Quels sont leurs besoins ? Sont-ils prêts à payer pour mes services ? Cette confrontation directe développe ce que j’appelle une « discipline entrepreneuriale » : la capacité à confronter le plus rapidement possible une idée à la réalité du marché. Le freelancing vous aide à acquérir cette discipline essentielle, qui est transférable à n’importe quel projet entrepreneurial futur.

La méthode Google pour une transition en douceur

Si vous avez déjà des compétences techniques (SEO, développement, etc.), devenir freelance est une évidence. Vous pourrez rapidement vivre de votre activité. Par la suite, pour passer à un modèle plus entrepreneurial, vous pouvez appliquer ce que j’appelle la « méthode Google ». À une époque, Google permettait à ses ingénieurs de consacrer 20 % de leur temps à des projets personnels, ce qui aurait donné naissance à Gmail.

De la même manière, vous pouvez passer 80 % de votre temps sur votre activité de freelance qui génère des revenus, et 20 % sur un projet plus expérimental, comme la création de contenu ou le développement d’un produit. C’est exactement comme ça que j’ai transitionné de freelance en Facebook Ads à formateur. Quand le contenu a commencé à prendre, j’ai inversé la proportion. Si vous n’êtes pas pressé de générer des revenus dans les trois prochains mois, l’entrepreneuriat direct reste une option viable, mais le freelancing est une voie plus sûre et plus rapide pour commencer.

Comment monter son agence marketing et être crédible à 19 ans ?

Omar, étudiant de 19 ans, a des compétences en marketing digital et souhaite lancer son agence. Il se demande comment se présenter pour être pris au sérieux malgré son jeune âge et comment convaincre les professionnels de lui donner sa chance.

Jouer la carte du jeune prodige pour convaincre

À 19 ans, la carte à jouer est celle du « jeune prodige ». C’est un effet dont j’ai moi-même bénéficié quand j’ai démarré Marketing Mania vers 22-23 ans. Les gens sont souvent impressionnés par un jeune qui a la niaque et l’initiative. C’est un élément polarisant : certains seront rebutés, mais d’autres seront attirés, et c’est une bonne chose.

La stratégie consiste à cibler les bonnes personnes. Visez des entreprises dirigées par des entrepreneurs plutôt que par des bureaucrates. Un entrepreneur se reconnaîtra en vous, il comprendra votre démarche et sera plus enclin à vous donner une chance, voire à vous mentorer. Un manager dans une grande structure, lui, aura tendance à minimiser les risques et à privilégier des prestataires établis.

Il ne faut pas essayer de cacher votre jeunesse ou de faire semblant d’avoir 15 ans d’expérience. Votre faiblesse est le manque d’historique, mais votre force est l’énergie, les idées nouvelles et la volonté de vous dépasser. Jouez sur cette carte : « j’ai la niaque, j’ai des idées, je vais me défoncer pour vous ».

Prouver sa valeur avec des projets tests

Pour surmonter le manque de légitimité, soyez prêt à travailler pour pas cher, voire gratuitement, mais uniquement sur des projets tests pour les bonnes personnes. Le but n’est pas de travailler pour des clients qui n’ont pas de budget, mais pour des entreprises qui ont les moyens de vous payer mais qui, logiquement, hésitent à prendre un risque.

Proposez un petit projet test, gratuit ou à bas coût, pour leur prouver vos compétences. Les critères pour choisir ces entreprises sont clairs : vous devez avoir un accès direct au décideur, pouvoir avoir un impact réel, et idéalement, travailler pour quelqu’un de bien connecté qui pourra vous recommander. Ne travaillez jamais gratuitement pour des gens qui sont aussi paumés que vous. Visez des entreprises déjà solides. Il suffit d’un bon projet test qui débouche sur un contrat payant ou une recommandation pour lancer votre carrière.

Organisation et délégation business : comment j’ai structuré Marketing Mania ?

Cédric s’interroge sur mon organisation, l’évolution de mon temps de travail et surtout, la progression de la délégation au sein de mon entreprise depuis mes débuts en solo.

Mon temps de travail a-t-il évolué ?

Pour commencer, je travaille à peu près toujours autant qu’au début. Même si l’équipe s’agrandit, les projets et les ambitions grandissent aussi. C’est un choix personnel. Je travaille au maximum de mes capacités physiques et mentales, ce qui se traduit par 6 à 8 heures de travail très concentré par jour. Je ne pourrais pas enregistrer ou écrire 12 heures par jour, car la créativité a ses limites. Ce volume de travail est resté stable, que je sois seul ou à la tête d’une équipe d’une dizaine de personnes.

L’évolution de mon équipe : de freelance solo à une dizaine de personnes

J’ai commencé tout seul, sans budget. Mon premier recrutement fut un monteur freelance pour le podcast en 2014, une mauvaise expérience. En 2015, j’ai recruté Gilles, un ingénieur son avec qui je travaille toujours aujourd’hui. Ce fut ma première expérience réussie de délégation business.

La progression a été graduelle :

  • 2016 : J’ai engagé un assistant pour les tâches répétitives (publication, mise en ligne).
  • 2018 : J’ai recruté mon premier employé à plein temps, un assistant opérationnel très polyvalent.
  • 2019 : L’équipe est passée à trois personnes à plein temps, avec des rôles plus spécialisés (opérationnel et marketing).
  • 2020 : Deux personnes supplémentaires nous ont rejoints pour le contenu, et nous avons lancé Schoolmaker, recrutant un développeur et un responsable succès client.
  • 2021 : L’équipe continue de s’agrandir avec un monteur à plein temps pour Marketing Mania et un designer pour Schoolmaker.

Les leçons tirées de mon expérience de la délégation

Cette croissance m’a appris plusieurs choses sur la délégation business. Premièrement, les freelances « one-shot » sont rarement une bonne solution. Je privilégie soit des freelances sur le long terme avec une compétence très spécifique, soit des collaborateurs à plein temps qui sont pleinement impliqués dans les projets.

Je n’aime pas les termes « sous-traitance » ou « externalisation ». Ils suggèrent que la tâche est sans importance. Or, chaque tâche de votre business est importante et doit être bien faite. Je ne cherche pas à « filer une tâche nulle à quelqu’un », mais à confier une responsabilité à une personne compétente qui va l’améliorer. Mon business n’est pas une personne, c’est une équipe.

L’évolution idéale de la délégation est la suivante : vous commencez par tout faire, puis vous déléguez des tâches, puis des projets, puis des décisions, et enfin des business entiers. L’objectif est de bâtir une véritable équipe de professionnels.

Où trouver un assistant compétent pour son business en ligne ?

Alexandre cherche un assistant mais n’a ni assez de travail ni les moyens pour un employé à plein temps. Où peut-il trouver la bonne personne ? Il existe trois endroits principaux où chercher.

  1. Votre audience ou vos clients : C’est souvent le meilleur endroit. Les personnes qui vous suivent comprennent déjà votre univers, vos valeurs et votre business. J’ai vu des créateurs dans tous les domaines, du marketing au sport, trouver leurs meilleurs collaborateurs au sein de leur propre communauté.
  2. Les groupes d’entrepreneurs (Facebook, LinkedIn) : C’est une excellente source pour trouver des personnes avec un état d’esprit entrepreneurial. Un assistant qui s’intéresse à l’entrepreneuriat sera plus proactif, autonome et désireux d’apprendre à vos côtés. C’est une dynamique de mentorat qui peut être très bénéfique.
  3. Les plateformes de freelancing (Malt, Upwork) : C’est une option que je considère en dernier recours. On y trouve de tout, et il faut souvent tester plusieurs personnes avant de trouver la perle rare. L’état d’esprit n’est pas toujours aligné avec une vision de développement à long terme au sein de l’entreprise, mais cela reste une source viable de candidats.

Comment déléguer la relation client avec un fort personal branding ?

Enfin, Remy, dont le business repose sur son personal branding, se demande comment déléguer la relation client sans que son audience se sente trahie.

Le secret : recruter des personnes de qualité et créer des procédures

La clé est de ne pas voir cela comme une sous-traitance, mais comme une amélioration du service. L’audience n’attend pas forcément une réponse personnelle de votre part à chaque question, mais elle attend une réponse de qualité. En recrutant quelqu’un de dédié, vous pouvez offrir une meilleure réactivité et des réponses plus détaillées que ce que vous pourriez faire seul, une fois que votre business a atteint une certaine taille.

Pour y parvenir, attendez-vous à investir énormément de temps au début. Pendant les 6 à 8 premières semaines avec mon premier employé, nous passions des heures chaque jour à revoir les réponses aux e-mails. Chaque réponse que je validais devenait un modèle, une procédure. L’objectif est de construire un système qui permette à votre collaborateur de devenir autonome. Aujourd’hui, 99 % des demandes sont gérées sans mon intervention, et les réponses sont meilleures que celles que je pourrais fournir, faute de temps.

Déléguer le service client est, de mon expérience, l’une des tâches les plus « faciles » à déléguer, comparé à la création de contenu ou à la stratégie.

Garder le contact avec son audience malgré la délégation

Déléguer ne veut pas dire se couper de son audience. Il est crucial de trouver des moyens de garder le contact. Pour ma part, je le fais via mes consultations hebdomadaires avec les clients de mes formations. Cela me permet de comprendre leurs blocages, leurs projets et leurs interrogations.

Même si vous ne répondez plus aux e-mails, vous pouvez toujours les lire. Je lis les synthèses que mon équipe me fait remonter pour comprendre les objections et les questions récurrentes, ce qui nourrit mon contenu et mes futures offres. Vous pouvez aussi lire les commentaires sur vos vidéos. L’idée est de passer d’un mode « production » (répondre) à un mode « consommation » (lire, écouter) pour rester connecté à la réalité de votre marché.

La règle d’or avec votre nouvel assistant : il peut vous poser toutes les questions qu’il veut, mais jamais deux fois la même. Chaque question doit aboutir à une procédure pour qu’il puisse ensuite extrapoler et gagner en autonomie.

Foire aux questions sur la délégation business et la création de contenu

Faut-il absolument se spécialiser pour avoir des vues sur YouTube ?

Non, la spécialisation est surtout cruciale si votre objectif est de vendre un produit spécifique. Pour faire des vues et construire une communauté, un format cohérent et une personnalité forte peuvent suffire, même en abordant différents sujets.

« Sur YouTube, est-ce que tu as besoin de nécessairement de spécialiser une chaîne pour faire des vues et pour faire une chaîne qui t’amuse, une chaîne intéressante, une chaîne qui apprend des choses aux gens ? La réponse, c’est non. »

Peut-on mélanger humour et sérieux sur une même chaîne YouTube ?

Oui, absolument. L’humour peut être un excellent moyen de créer du lien avec votre audience. L’équilibre dépend de votre objectif : pour du divertissement, vous pouvez y aller à fond ; si vous voulez vendre et être perçu comme un expert, il faut le doser plus subtilement.

« Évidemment que la plupart des grosses chaînes YouTube qui font des dizaines de millions d’abonnés sont des chaînes avec un élément de divertissement, avec un élément humoristique. »

Freelance ou entrepreneur : quelle est la voie la plus rapide pour devenir nomade digital ?

Le freelancing est généralement la voie la plus rapide et la plus fiable. Il permet de se positionner sur un besoin de marché déjà existant et nécessite moins de clients pour être rentable, ce qui accélère l’atteinte de l’objectif de liberté géographique.

« Si ton objectif c’est de dire je veux vivre le lifestyle du Nomad digital, la réponse de quelle est la manière la plus fiable et la plus rapide d’y arriver, c’est effectivement d’être freelance. »

Comment être crédible quand on est un jeune entrepreneur de 19 ans ?

Il faut jouer la carte du ‘jeune prodige’ en assumant son âge et en mettant en avant son énergie et sa motivation. Ciblez d’autres entrepreneurs qui seront plus à même de reconnaître votre potentiel et proposez des projets tests à bas coût ou gratuits pour prouver vos compétences.

« Ta faiblesse, c’est que tu n’as pas autant d’expérience… En revanche, tu as le jeu de j’ai la niaque, j’ai des idées, j’ai l’initiative, je vais me défoncer pour vous, et ça, c’est une carte que tu peux jouer. »

Comment évolue la délégation dans un business en croissance ?

La délégation business évolue par étapes : on commence par déléguer des tâches simples et répétitives, puis des projets entiers, ensuite des décisions stratégiques, et potentiellement des business units complètes. L’objectif est de passer de ‘faire’ à ‘faire faire’ en construisant une équipe de professionnels.

« L’évolution que tu veux avoir, c’est de commencer par tout faire tout seul, ensuite tu vas commencer à déléguer des tâches. Mais où ça va commencer vraiment à devenir intéressant, c’est comment tu commences à déléguer des projets, puis tu commences à déléguer des décisions. »

Où trouver le bon assistant pour son business en ligne ?

Les trois meilleures sources sont, par ordre de préférence : votre propre audience ou vos clients, les groupes d’entrepreneurs sur les réseaux sociaux, et enfin les plateformes de freelancing comme Malt ou Upwork.

« Le premier [endroit], c’est ton audience ou tes clients, c’est généralement le meilleur endroit où trouver des gens qui comprennent ton business. »

Est-il possible de déléguer la relation client quand on a un fort personal branding ?

Oui, c’est tout à fait possible et même souhaitable. La clé est de recruter une personne de qualité qui pourra fournir des réponses meilleures et plus rapides que vous, et de passer beaucoup de temps au début à créer des procédures et des modèles de réponse pour garantir une expérience client cohérente.

« Je pense que même si tu as ton business est basé sur ton personal branding, l’audience n’attend pas nécessairement une réponse de ta part à toutes les questions qu’il t’envoie. Par contre, évidemment, c’est important d’avoir une réponse qui est qualitative. »

Faut-il privilégier des freelances ou des employés à plein temps ?

Pour des tâches ponctuelles, un freelance peut suffire. Cependant, pour une implication durable et une meilleure intégration dans la culture d’entreprise, les collaborateurs à plein temps ou les freelances sur le très long terme sont souvent une meilleure solution pour une délégation business réussie.

« J’ai de plus en plus tendance à privilégier les gens à plein temps, simplement parce que j’ai besoin que les gens fassent beaucoup de choses pour moi et qu’ils soient vraiment impliqués dans mes projets. »


Épisodes similaires