Logo de l'épisode Devenez un freelance incontournable - avec Alexis Minchella du podcast Marketing Mania - Conversations d'entrepreneurs

Devenez un freelance incontournable – avec Alexis Minchella

Épisode diffusé le 19 janvier 2021 par Marketing Mania

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Les secrets pour écrire un livre qui devient une référence

Alexis Minchella, copywriter B2B et créateur du célèbre podcast Tribu Indé, a récemment publié son premier livre : “Freelance : l’aventure dont vous êtes le héros”. Plus qu’un simple guide, cet ouvrage a été pensé pour devenir une référence durable dans l’écosystème des indépendants. Mais comment passe-t-on de l’idée à un livre qui marque les esprits ? Le secret réside dans une approche centrée sur des fondations solides, bien loin des conseils techniques éphémères.

Le piège des outils : pourquoi privilégier les principes intemporels

Lorsque l’on cherche des conseils, que ce soit pour lancer une chaîne YouTube, créer un site web ou devenir freelance, on tombe souvent sur le même écueil : des tutoriels techniques. On vous explique quelle caméra acheter ou comment remplir des papiers administratifs, mais rarement comment créer de la valeur ou se différencier. Comme le souligne Stan, l’animateur du podcast : “C’est beaucoup plus difficile de se dire en fait concrètement, en quoi est-ce que tu te différencies des autres freelances, en quoi est-ce que tu es meilleur et surtout comment est-ce que tu fais pour vendre et facturer.”

Alexis a fait le constat d’un vrai “gap” dans la littérature pour freelances. La plupart des ouvrages se concentrent sur l’administratif, laissant de côté les piliers business. “Tu as beaucoup de livres sur l’administratif, tu vois, quel statut choisir […] mais tu as pas de livre qui se concentre en fait sur les fondations, sur des principes presque intemporels qui te permettent de vivre de ton activité,” explique-t-il. Son livre a donc volontairement évité de parler d’outils spécifiques comme Notion ou Excel. Pourquoi ? Parce que les outils se périment. Un livre qui en dépend devient obsolète en quelques années. Stan abonde dans ce sens : “D’un point de vue stratégique, je pense que c’est une erreur d’écrire un livre qui va se périmer dans un an et demi ou 2 ans. Si tu as pris 12 mois pour écrire un livre, tu as envie qu’il ait plus que 12 mois de vie.” Le véritable enjeu est de fournir une méthode et des principes que chacun peut adapter à sa situation unique, plutôt qu’un template à copier-coller qui ne fonctionne que dans un contexte précis.

La puissance des exemples et des métaphores pour marquer les esprits

Expliquer un concept abstrait comme le “positionnement” est un défi. Sans un bon exemple, le message reste vague et inefficace. Stan le résume parfaitement : “Tu peux expliquer un concept autant que tu veux, les gens vont jamais comprendre tant que tu n’as pas le bon exemple.” Pour illustrer le positionnement, il a utilisé dans son propre livre la métaphore du camion de glaces : “Si le camion à glace, il est au mauvais endroit […] personne ne veut de glace. Et en fait le truc, c’est pas que les glaces que tu vends, elles sont pas bonnes, c’est qu’il faut descendre ton camion à glace et le mettre à côté d’une plage.”

Cette approche est au cœur du travail d’Alexis. Pour lui, un livre réussi est celui dont les histoires restent gravées dans la mémoire du lecteur. Il a mixé des exemples concrets tirés de son expérience de freelance avec des anecdotes plus universelles et surprenantes. L’une des plus marquantes est celle du violoniste Joshua Bell. “C’est un très, très grand violoniste qui avait fait une expérience […] dans une station de métro. Il a joué en fait le même concert qu’il jouait auprès de personnes qui étaient prêtes à payer 300-400 dollars la place,” raconte Alexis. Résultat ? Dans le métro, il a à peine récolté 25 dollars. Cet exemple illustre de manière spectaculaire que la valeur perçue dépend entièrement du contexte et du positionnement. L’objectif est clair : “J’aimerais bien que dans 1 an, 2 ans, que les indépendants qui ont lu ce livre, quand ils se confrontent à une situation dans la vie réelle, se disent ‘ah mais ça me fait penser à tel exemple que j’ai vu dans le bouquin d’Alexis’.”

Dans les coulisses du processus d’écriture d’un best-seller

Écrire un livre qui captive son audience n’est pas le fruit du hasard. C’est un travail méticuleux d’analyse, de structuration et de positionnement stratégique. Alexis et Stan ont tous deux adopté une approche similaire : décomposer les œuvres à succès pour en comprendre les rouages.

L’art de déconstruire les succès pour structurer son propre livre

Pour comprendre comment construire son livre, Stan a appliqué une technique de copywriter : le “swiping”. Il ne s’est pas contenté de lire des best-sellers comme La Semaine de 4 heures de Tim Ferriss, il les a “déossés”. “Je voulais déosser La Semaine de 4 heures […] et essayer de comprendre en fait la construction que lui il a eue,” explique-t-il. Il a analysé la structure, le placement des histoires, l’utilisation du suspense (les “open loops”), pour en extraire des principes applicables.

Alexis a suivi ce conseil, notamment en étudiant L’Art subtil de s’en foutre de Mark Manson. Ce qui l’a fasciné, c’est la capacité de Manson à créer un livre de développement personnel qui séduit même ceux qui détestent ce genre. Comment y est-il parvenu ? En prenant systématiquement le contrepied des clichés. “Il va dans les premiers chapitres prendre entièrement à contrepied les clichés que tu attendrais,” analyse Stan. Au lieu de commencer par une success story inspirante à la Tony Robbins, Manson démarre avec l’histoire de Charles Bukowski, un auteur alcoolique dont l’épitaphe était “Don’t try” (N’essayez pas). Cette approche déstabilisante permet d’accrocher immédiatement un lectorat cynique et de désamorcer les préjugés.

Prendre le lecteur à contrepied : la stratégie pour captiver dès l’introduction

S’inspirant de cette méthode, Alexis a soigné son introduction pour qu’elle frappe fort. Il aurait pu commencer par un discours convenu sur les freelances visionnaires qui cassent les codes. Au lieu de ça, il a choisi un angle radicalement différent. “L’introduction, le titre de l’introduction s’appelle ‘Pourquoi la majorité des freelances échouent’,” révèle-t-il. En commençant par une statistique crédible et un constat brutal, il capte l’attention et établit son autorité dès les premières pages. “Ça me prend un contrepied sur l’idée initiale que j’avais en démarrant le bouquin. Et du coup, tu arrives à accrocher les premiers chapitres facilement.” Ce travail de structuration initiale, avant même d’écrire la première ligne, est fondamental. Pour Alexis, cette phase a duré près de quatre mois, soit bien plus que la rédaction de la première version du manuscrit.

Le travail de l’ombre : l’importance capitale de la relecture et des retours

L’écriture d’un livre ne s’arrête pas à la première version. En réalité, c’est là que le véritable travail commence. Le processus de relecture et de réécriture est une étape longue et exigeante, mais absolument essentielle pour transformer un bon manuscrit en un ouvrage de référence.

Comment mobiliser une communauté de bêta-lecteurs pour perfectionner son manuscrit

Conscient qu’il n’avait plus le recul nécessaire sur son propre texte, Alexis a décidé de faire de l’écriture de son livre un projet communautaire. Il a recruté un groupe de 30 bêta-lecteurs issus de l’audience de Tribu Indé. “Quel est le meilleur moyen d’être sûr que ça serve à des gens ? Bah c’était en fait de faire participer collectivement une trentaine d’indépendants,” affirme-t-il. Ce groupe était varié, allant de salariés en reconversion à des freelances expérimentés, ce qui lui a permis d’obtenir des retours pertinents pour chaque chapitre.

Pour structurer ces retours, il ne s’est pas contenté d’envoyer un Google Doc. Il a créé un questionnaire détaillé pour guider les relecteurs : “Quelle est la grande idée du chapitre ? Qu’est-ce que tu retiens ? Est-ce qu’il y a des moments un petit peu creux ?” Chaque chapitre a été relu par au moins deux ou trois personnes, garantissant une qualité optimale. Au total, le processus a été intense : “La relecture m’a pris plus de temps que l’écriture. J’ai dû y passer peut-être 60-70 heures sur la V1 et sur les plusieurs versions […] j’ai dû passer quasiment le double.”

La collaboration avec l’éditeur : entre liberté créative et expertise du métier

Une question se pose souvent : quel est le rôle de l’éditeur dans le peaufinage du contenu ? Pour Stan comme pour Alexis, qui ont travaillé avec le même éditeur, l’intervention sur le fond a été limitée. L’éditeur s’est montré confiant dans leur expertise. Alexis rapporte les propos de son éditeur : “On n’est pas les plus pertinents pour juger si ce que tu es en train de raconter sur le positionnement, c’est vraiment véridique, parce que ce n’est pas notre sujet.” Le travail de l’éditeur s’est donc davantage concentré sur la forme, la cohérence de la structure, la syntaxe et l’orthographe. Cette situation souligne l’importance d’avoir son propre système de relecture en amont. Sans les retours de son équipe, Stan admet que le processus aurait été plus stressant. Pour Alexis, le groupe de bêta-lecteurs a joué ce rôle crucial de filet de sécurité.

Comment trouver le titre parfait pour son livre : une méthode éprouvée

Le titre est la porte d’entrée d’un livre. Un bon titre peut faire la différence entre un succès et un oubli. Alexis a ressenti une forte pression sur ce choix et a décidé de ne rien laisser au hasard, en appliquant une méthode rigoureuse en quatre étapes.

De l’analyse des best-sellers aux tests A/B sur Facebook

Plutôt que de se fier à son intuition, Alexis a commencé par une phase d’analyse. “J’ai pris les 60-70 meilleures ventes sur Amazon […] et je les ai rentrées dans un Excel,” explique-t-il. Il a ensuite utilisé une méthode de l’auteur Tucker Max pour catégoriser ces titres (utilisation de chiffres, de métaphores, de bénéfices, etc.) afin d’identifier des patterns récurrents.

Fort de cette analyse, il a généré une quinzaine d’idées de titres qu’il a soumises à son groupe de bêta-lecteurs. Après plusieurs réunions qualitatives et quantitatives, 4 à 5 options ont émergé. L’étape suivante a été de consulter la communauté plus large de Tribu Indé via un questionnaire, ce qui lui a permis de récolter plusieurs centaines de réponses et de voir deux titres se détacher nettement.

Enfin, pour la validation ultime, il s’est inspiré de Tim Ferriss. “J’ai testé un peu à la manière de Tim Ferriss en faisant de la publicité sur Facebook pour tester le titre,” raconte Alexis. Il a créé de fausses couvertures et a mesuré le taux de clic sur différentes audiences. Le résultat a été sans appel : “Freelance, l’aventure dont vous êtes le héros” est sorti grand vainqueur. “Ça m’a conforté dans l’intuition que j’avais, qui était que ce titre-là me parlait, reflétait très bien le contenu du livre, et puis était très différent par rapport à ce qu’on peut trouver.”

La carrière d’Alexis Minchella : comment devenir un copywriter B2B incontournable

Au-delà de son livre, Alexis Minchella est avant tout un copywriter B2B spécialisé dans la tech et les entreprises SaaS. Son parcours illustre parfaitement comment un positionnement clair et une stratégie d’acquisition intelligente permettent de construire une carrière de freelance florissante.

Identifier sa niche et trouver des clients premium

La clé du succès pour Alexis a été de se concentrer sur un type de client bien précis : les entreprises B2B, souvent dans le SaaS, qui ont déjà validé leur “product market fit”. “Le client parfait, c’est le client qui a déjà validé un product market fit,” précise-t-il. Ce sont des entreprises qui ont une centaine de clients, qui sont en phase d’accélération et qui comprennent la valeur du copywriting. En ciblant ces entreprises, il s’évite une tâche fastidieuse : “J’ai plus forcément envie de faire de l’éducation de zéro à des clients en leur expliquant que le copywriting, c’est important.” Il préfère s’adresser à des gens qui voient déjà son intervention comme une solution à un problème business crucial, comme le manque de leads qualifiés pour les équipes de vente.

Tribu Indé : comment un podcast de niche devient un puissant levier d’acquisition

Fait surprenant, Alexis n’a plus de site web pour son activité de freelance. “J’ai volontairement retiré le site,” avoue-t-il. Pourquoi ? Parce que son acquisition client ne dépend plus de la prospection directe. Il n’a besoin que de 10 à 12 clients par an pour très bien vivre. Ces clients proviennent principalement de deux sources : la recommandation de ses anciens clients et, de manière indirecte, son podcast Tribu Indé.

Même si le podcast s’adresse aux freelances et non à ses clients finaux, il est devenu sa meilleure vitrine. “Tribu Indé, mine de rien, m’apporte beaucoup, beaucoup de clients et notamment de referral par rapport aux auditeurs du podcast,” explique-t-il. Les auditeurs, eux-mêmes freelances, le recommandent à leurs propres clients ou lui transmettent des missions. Le podcast agit comme une preuve de son expertise et de sa crédibilité. Il n’a pas besoin de monétiser directement son audience, car l’autorité qu’il construit se transforme naturellement en opportunités business de grande valeur. C’est la démonstration parfaite qu’investir dans la création de contenu pour une communauté peut être la stratégie marketing la plus rentable à long terme.

Finalement, que ce soit pour écrire un livre ou construire une carrière de freelance, la leçon d’Alexis Minchella est la même : il faut se concentrer sur la création de valeur durable, bâtir une autorité sur des fondations solides et s’entourer d’une communauté pour aller plus loin.


Questions fréquentes (FAQ)

Comment écrire un livre qui reste pertinent pendant 10 ans ?

Pour écrire un livre qui dure, il est crucial de se concentrer sur des principes fondamentaux et intemporels plutôt que sur des outils ou des technologies qui se périment vite. L’objectif est de fournir un cadre de réflexion et des méthodes applicables dans différents contextes, quelle que soit l’évolution du marché.

Citation de Stan Leloup : “D’un point de vue stratégique, je pense que c’est une erreur d’écrire un livre qui va se périmer dans un an et demi ou 2 ans. […] Moi, je me suis dit il faut que j’écrive mon livre et chaque phrase, je me dis dans 10 ans, est-ce que cette phrase elle aura l’air périmée ?”

Quelle est l’importance des exemples dans un livre business ?

Les exemples et les métaphores sont essentiels pour rendre des concepts abstraits concrets et mémorables. Un bon exemple permet au lecteur de visualiser l’idée, de mieux la comprendre et de s’en souvenir lorsqu’il est confronté à une situation similaire dans sa propre vie.

Citation d’Alexis Minchella : “On t’amène des nouveaux exemples que tu n’avais pas encore en tête et qui te permettent justement d’appuyer ensuite une grande idée. Et tu vas t’en souvenir. L’idée c’est que moi j’aimerais bien que dans 1 an, 2 ans, que les indépendants qui ont lu ce livre […] se disent ‘ah mais ça me fait penser à tel exemple que j’ai vu dans le bouquin’.”

Comment trouver le titre parfait pour son livre ?

Trouver un bon titre ne doit pas reposer sur l’intuition seule. Une méthode efficace consiste à analyser les titres des best-sellers de sa catégorie, générer des idées basées sur des modèles récurrents (métaphores, bénéfices, chiffres), les soumettre à une communauté pour obtenir des retours qualitatifs, et enfin valider les meilleures options avec des tests A/B via de la publicité.

Citation d’Alexis Minchella : “J’ai testé un peu à la manière de Tim Ferriss en faisant de la publicité sur Facebook pour tester le titre. […] Ce qui fait qu’en fait, in fine, avec toutes les méthodes que j’avais utilisées, ‘Freelance, l’aventure dont vous êtes le héros’ est le titre qui est ressorti le plus.”

Comment impliquer des bêta-lecteurs dans le processus d’écriture ?

Pour impliquer efficacement des bêta-lecteurs, il est utile de créer un groupe dédié et de structurer leurs retours. Plutôt que de simplement demander un avis général, il faut les guider avec un questionnaire précis sur les idées clés, la clarté, les points faibles et les améliorations possibles. Chaque chapitre devrait être relu par plusieurs personnes pour croiser les perspectives.

Citation d’Alexis Minchella : “J’avais créé une sorte de petit questionnaire avec plein de questions sur : à ton avis, quel est la grande idée du chapitre, quelles sont les sous-idées, qu’est-ce que tu retiens […] Est-ce qu’il y a des moments un petit peu creux, pourquoi ?”

Comment un freelance peut-il trouver des clients sans avoir de site web ?

Un freelance peut tout à fait trouver des clients sans site web en misant sur la recommandation et le marketing de contenu indirect. En construisant une autorité via un podcast, une newsletter ou une présence sur les réseaux sociaux, il peut attirer des opportunités par le biais de son réseau et des recommandations d’autres professionnels qui le suivent.

Citation d’Alexis Minchella : “Aujourd’hui, j’ai la chance d’avoir un certain nombre de recommandations à la fois de clients, et en fait Tribu Indé, mine de rien, m’apporte beaucoup beaucoup de clients et notamment de referral par rapport aux auditeurs du podcast.”

Comment se positionner en tant que copywriter B2B pour attirer les bons clients ?

Pour attirer des clients premium, un copywriter B2B doit cibler des entreprises qui ont déjà atteint une certaine maturité (un “product market fit” validé) et qui comprennent déjà la valeur de son travail. Cela évite de perdre du temps à éduquer le marché et permet de se concentrer sur des missions à fort enjeu stratégique, où le budget est conséquent.

Citation d’Alexis Minchella : “Le client parfait, c’est le client qui a déjà validé un product market fit. […] Le client qui a validé le produit mais qui sent qu’il y a un problème sur le positionnement, sur le wording, sur la manière dont on attaque les clients.”

Comment lancer un podcast à succès dans une niche ?

Pour lancer un podcast de niche, il faut identifier une opportunité sur un marché sous-exploité. Ensuite, il est crucial de développer une réelle compétence d’intervieweur pour poser les bonnes questions, creuser les réponses et faire ressortir des anecdotes et des concepts uniques. La démarche doit être motivée par une volonté d’apprendre et de progresser, ce qui se ressentira dans la qualité des épisodes.

Citation de Stan Leloup : “Sur le podcast, il faut apprendre […] à poser les bonnes questions pour faire sortir les bonnes infos à quelqu’un. Non seulement ça se pratique, mais c’est plus dur parce que tu le contrôles moins.”

Pourquoi faut-il se concentrer sur les fondations business plutôt que sur l’administratif en freelance ?

L’administratif est une étape nécessaire mais simple. Le vrai défi pour un freelance est de construire une activité pérenne. Cela passe par la maîtrise des fondations business : le positionnement, la définition de l’offre, la recherche client, la tarification, la négociation et la fidélisation. C’est ce qui permet de se différencier dans un marché concurrentiel et de bien gagner sa vie.

Citation d’Alexis Minchella : “Tu as un vrai gap entre le fait de dire ‘je suis freelance’ […] et le quotidien des freelances. Et beaucoup de freelances en fait n’arrivent pas à vraiment bien gagner leur vie […] Et en fait là, il y avait un vrai gap que j’ai essayé de combler avec le livre.”


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