Le secret des entrepreneurs – Episode 4

Comment sortir du lot quand tout le monde crie plus fort ? Le secret n’est pas celui que vous croyez

Vous êtes là, devant votre écran, une tasse de café à la main, à vous demander comment faire. Comment percer ? Comment, dans cet océan infini qu’est internet, faire en sorte que votre voix soit entendue ? C’est une question qui hante les nuits de milliers d’entrepreneurs. On me la pose d’ailleurs très souvent : ‘Comment est-ce que je peux faire pour me différencier des autres ?’ ou encore, avec une pointe de désespoir dans la voix, ‘Lancer mon activité c’est vraiment difficile, quoi que je fasse, personne ne me remarque’. Si ces mots résonnent en vous, sachez une chose : vous n’êtes absolument pas seul(e). C’est un sentiment légitime, presque universel, face à un monde digital qui semble totalement saturé.

La frustration, le découragement, l’impression de crier dans le vide… ce sont des étapes quasi obligatoires du parcours entrepreneurial. On a beau avoir la meilleure idée, le produit le plus innovant ou le service le plus pertinent, le silence en retour peut être assourdissant. On se sent perdu, invisible. Et si je vous disais que le problème n’est pas le bruit ambiant ? Et si la solution ne se trouvait pas dans une nouvelle technique marketing révolutionnaire, un budget publicitaire colossal ou une énième formation sur le dernier réseau social à la mode ? La véritable clé, celle qui ouvre la porte du succès durable, est beaucoup plus proche de vous. Elle est en vous. Il s’agit de votre état d’esprit d’entrepreneur. Aujourd’hui, nous n’allons pas parler de taux de clic ou d’affiliation. Nous allons parler de ce qui précède tout ça : le moteur invisible qui différencie ceux qui stagnent de ceux qui explosent. Car avant de vouloir être visible aux yeux du monde, il faut d’abord changer la façon dont on se voit soi-même.

Le grand mensonge du marché saturé : pourquoi votre perception est votre principal obstacle

Parlons chiffres, pour que les choses soient claires. L’environnement dans lequel nous évoluons est, objectivement, bondé. Comme je le disais dans le podcast, les données sont vertigineuses : ‘Il existe plus d’un milliard de blogs sur internet. Il y a plus de 3 milliards de personnes inscrites sur les réseaux sociaux […] Et il y a près de 4 millions de recherches faites sur Google chaque minute’. En France seulement, on compte environ 200 000 sites marchands, avec une croissance de 10% par an. Face à ce mur de chiffres, il est naturel de se sentir comme une petite goutte d’eau dans un océan déchaîné. La conclusion logique semble être : ‘c’est impossible de se faire une place’. C’est précisément là que se situe le piège.

Ce que vous percevez comme un obstacle insurmontable, l’entrepreneur à succès le perçoit comme un terrain de jeu rempli d’opportunités. La différence est fondamentale et elle ne réside pas dans les compétences techniques, mais dans la mentalité. C’est une question d’état d’esprit. Les créateurs d’entreprises qui réussissent ne passent pas leur temps à analyser la saturation du marché pour ensuite se sentir paralysés. Ils ne se demandent pas ‘comment sortir du lot’. Ils foncent dans le tas. Ils ne se demandent pas si ça va marcher, ils avancent et ajustent en cours de route. Ils ne voient pas la complexité, ils voient l’action à entreprendre. Leur cerveau n’est tout simplement pas programmé pour se focaliser sur le négatif, les risques et les difficultés. C’est une distinction qui change absolument tout.

Cette focalisation sur les obstacles est un véritable trait de notre société. Combien de fois avez-vous entendu des phrases décourageantes comme ‘créer une entreprise en France, c’est mission impossible’ ou ‘une entreprise sur deux ferme avant même sa première année’ ? Ce bruit de fond négatif nous conditionne à la peur. Pourtant, mon expérience personnelle me prouve chaque jour le contraire. Je suis entourée d’entrepreneurs de tous âges, de tous horizons, avec ou sans diplômes, avec ou sans budget. Et devinez quoi ? ‘Tous ceux qui ont monté leur boîte ont réussi’. Attention, je ne dis pas que c’est facile. Loin de là. Gérer une entreprise demande un travail acharné. Mais ce que je dis, c’est que ce pessimisme ambiant laisse un boulevard immense à ceux qui décident de l’ignorer et de simplement agir. Le marché n’est pas saturé pour ceux qui osent. Il est saturé pour ceux qui attendent la permission d’oser.

Programmez votre succès : le pouvoir insoupçonné de la visualisation

Vous aurez beau maîtriser sur le bout des doigts toutes les techniques de marketing digital, si votre état d’esprit n’est pas aligné, c’est peine perdue. Le premier pas, le plus simple et le plus puissant, est de décider consciemment d’être positif. C’est la fameuse histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide. À partir de maintenant, votre verre est toujours à moitié plein. Mieux encore : il est en train de se remplir. Pour aller plus loin, je vous propose un exercice qui peut sembler étrange mais dont l’efficacité est redoutable : agissez comme si vous aviez déjà réussi. Adoptez la posture, la confiance et la sérénité de la personne qui a déjà atteint ses objectifs.

L’arme secrète des champions : quand l’esprit dessine la victoire

Ce n’est pas de l’arrogance, c’est de la confiance projetée. C’est ce que faisait Aznavour qui ‘se voyait déjà en haut de l’affiche’. Pour que le succès se matérialise, il faut d’abord le visualiser, le ressentir, y croire viscéralement. Ce n’est pas de la magie, c’est le pouvoir du ‘mindset’. L’exemple le plus frappant se trouve chez les sportifs de haut niveau. Avez-vous déjà observé un skieur juste avant le départ d’un slalom géant ? ‘Il ferme les yeux et il bouge la tête en avant, sur le côté, de l’autre côté […] Qu’est-ce qu’il fait ? Il visualise sa course’. Il la vit dans sa tête, chaque virage, chaque porte, chaque mouvement parfait jusqu’à la ligne d’arrivée. Les grands champions ne laissent rien au hasard, et surtout pas leur préparation mentale.

Plus qu’une impression, une réalité scientifique

Cette pratique n’est pas un simple rituel superstitieux. Son efficacité a été prouvée scientifiquement. Une étude fascinante a été menée sur deux groupes de sportifs de niveau équivalent. Le premier groupe s’est entraîné physiquement pendant une semaine, répétant inlassablement des gestes techniques complexes. Le second groupe, pendant ce temps, n’a pas mis un pied sur le terrain. Leur unique consigne était de se visualiser en train d’exécuter parfaitement ces mêmes gestes, encore et encore. À la fin de la semaine, les deux groupes ont été testés. Le résultat est stupéfiant : ‘aucune différence entre les deux équipes. Exactement le même niveau de progression’. Qu’ils se soient entraînés physiquement ou mentalement leur a apporté le même résultat. Votre esprit a un pouvoir phénoménal. Il peut vous propulser vers des sommets ou vous paralyser complètement. C’est à vous de choisir dans quelle direction vous voulez l’orienter.

Les 4 piliers pour construire un état d’esprit d’entrepreneur en béton armé

Comprendre l’importance du mindset est une chose, le cultiver au quotidien en est une autre. Passer de la théorie à la pratique demande de la discipline et des stratégies claires. Alors, comment faire pour passer en ‘mode positif’, en mode ‘je déchire tout, c’est évident que ça va marcher’ ? Voici quatre stratégies concrètes, quatre piliers à intégrer dès aujourd’hui dans votre routine d’entrepreneur pour transformer radicalement votre approche et, par conséquent, vos résultats.

Stratégie 1 : Forger une détermination sans faille

La première qualité, la plus essentielle, est la détermination. Mais pas n’importe laquelle : une détermination à toute épreuve. Cela signifie que lorsqu’un obstacle se présente, lorsque quelque chose ne fonctionne pas comme prévu, vous ne vous apitoyez pas sur votre sort. Vous n’interprétez pas cet échec comme une preuve de votre incompétence. Vous l’analysez, vous en tirez les leçons, vous vous relevez et vous recommencez. Peut-être différemment, mais vous recommencez. C’est ça, foncer. C’est cette capacité à encaisser les coups et à continuer d’avancer qui vous rend visible. On vous remarque non pas parce que vous criez, mais parce que vous êtes toujours en mouvement, toujours en train d’essayer, d’apprendre et de progresser. Dans cet univers ultra encombré, ‘ceux qui ressortent justement ? C’est ceux qui ne lâchent rien, ceux qui ne se laissent pas abattre, c’est ceux qui foncent’. Votre résilience devient votre meilleur outil marketing.

Stratégie 2 : Maîtriser l’art d’aller au bout des choses

Le monde de l’entrepreneuriat est un buffet à volonté d’opportunités, de stratégies et d’outils. Le plus grand risque ? L’indigestion. C’est ce que l’on appelle le syndrome de l’objet brillant : courir après chaque nouveauté, chaque tendance, chaque conseil. Le résultat est toujours le même : vous vous dispersez, vous perdez votre temps, votre énergie et votre motivation. ‘C’est normal d’avoir envie d’essayer […] mais c’est épuisant. Et si c’est épuisant, c’est pas efficace’. La clé est donc de faire un choix conscient et de s’y tenir. Choisissez une stratégie et engagez-vous à la suivre sur une période définie. Mettez toute votre énergie à son service. Pour savoir si une décision était la bonne, il n’y a qu’une seule façon : ‘il faut le faire vraiment’. Donnez-vous une chance réelle de réussir en vous focalisant. Si, au bout du compte, ça ne marche pas, vous pourrez changer, mais en vous basant sur des données réelles, pas sur une impression née de l’éparpillement.

Stratégie 3 : Créer ses propres traces, l’équilibre entre inspiration et innovation

Voici une idée qui peut sembler contradictoire mais qui est au cœur de la réussite : il faut à la fois suivre les traces des autres et créer les vôtres. Personne ne vous demande de réinventer la roue à chaque étape. C’est une perte de temps et d’énergie. Il est intelligent et efficace de s’inspirer de ceux qui ont réussi, d’analyser ce qui fonctionne dans votre secteur et d’adapter ces stratégies à votre entreprise. C’est un formidable raccourci. Mais il y a un ‘mais’. Une fois que vous avez acquis ces bases, que vous avez pris de l’assurance, vous devez oser vous en éloigner. ‘Si vous faites toujours comme vos concurrents, vous ne ferez jamais mieux que vos concurrents. Au mieux, vous continuerez à leur courir après’. C’est en injectant votre personnalité, votre créativité, votre vision unique que vous passerez du statut de suiveur à celui de leader. Apprenez les règles comme un pro pour pouvoir les briser comme un artiste.

Stratégie 4 : Le courage de la vérité, l’authenticité comme super-pouvoir

Les réseaux sociaux ont popularisé le concept de ‘personal branding’. Nous sommes tous devenus des marques, mettant en scène une version idéalisée de notre vie et de notre travail. Pensez à ces comptes Instagram parfaits où tout est lisse, beau et sans accroc. Le problème, c’est que ‘ça sonne faux’. Et au fond de nous, nous aspirons à l’inverse. Ce qui nous a rendus accros aux réseaux sociaux à l’origine, c’est la promesse de proximité, d’entrer dans le quotidien des gens qu’on admire. Je suis le surfeur Kelly Slater sur Instagram non pas pour voir une vie parfaite, mais pour avoir ‘l’impression de le connaître’. Nous recherchons cette connexion humaine. Et la connexion naît de l’authenticité, pas de la perfection. N’ayez pas peur de laisser transparaître qui vous êtes vraiment, avec vos forces, mais aussi vos failles. Partager une difficulté ne signifie pas se plaindre, mais montrer que vous êtes humain. C’est démontrer que vous comprenez les défis de votre audience parce que vous les avez vécus. À votre avis, qui est le plus inspirant ? Celui qui dit ‘regardez comme ma vie est super’ ou celui qui confie : ‘J’ai rencontré les pires galères et voilà ce que j’ai fait pour les surmonter’ ? La réponse est évidente. Votre vérité est votre plus grand atout.

Conclusion : Votre prochaine étape n’est pas une action, mais une décision

Nous avons exploré ensemble le véritable moteur de la réussite entrepreneuriale. Au-delà des stratégies et des outils, se trouve votre état d’esprit. C’est le socle sur lequel tout le reste est construit. Le sentiment d’être submergé par la concurrence n’est pas une fatalité, mais un symptôme d’une perspective qui a besoin d’être ajustée. Rappelez-vous des quatre piliers que nous avons vus : une détermination sans faille pour ne jamais abandonner, la discipline d’aller au bout des choses pour ne pas vous disperser, l’audace de créer vos propres traces pour vous démarquer, et le courage d’être vrai pour créer une connexion authentique.

Le succès attire le succès, le positif attire le positif. Ce n’est pas une formule magique, c’est une loi de la perception et de l’action. En adoptant un état d’esprit positif, vous ne changez pas seulement votre monde intérieur ; vous changez la façon dont le monde extérieur interagit avec vous. Vous commencez à voir des solutions là où il y avait des problèmes, des opportunités là où il y avait des obstacles. Votre prochaine étape n’est pas de lancer une nouvelle campagne publicitaire, mais de prendre une décision : la décision de voir le verre à moitié plein, d’agir comme si le succès était inévitable, et de commencer dès aujourd’hui à mettre en pratique ces stratégies. Car votre entreprise ne grandira jamais plus que vous ne le faites vous-même.

Questions fréquentes sur l’état d’esprit de l’entrepreneur

1. Comment puis-je concrètement ‘foncer dans le tas’ sans avoir de stratégie claire ?

‘Foncer dans le tas’ ne signifie pas agir de manière chaotique et irréfléchie. Il s’agit plutôt de privilégier l’action imparfaite à l’inaction parfaite. Au lieu de passer des mois à élaborer un plan théorique parfait, l’idée est de lancer une version simple de votre projet (un ‘Minimum Viable Product’), de le confronter rapidement au marché et d’ajuster votre stratégie en fonction des retours réels. C’est un cycle d’action, d’apprentissage et d’adaptation. L’état d’esprit consiste à ne pas laisser la peur de ne pas avoir ‘le plan parfait’ vous paralyser. La clarté vient souvent de l’action, et non l’inverse.

‘Ils ne se demandent pas si ça va marcher, ils avancent, on verra bien. Ils se disent pas que c’est compliqué, ils agissent.’

2. La visualisation positive est-elle vraiment efficace ou est-ce juste de la ‘pensée magique’ ?

Loin d’être une simple pensée magique, la visualisation est une technique de préparation mentale dont l’efficacité a été démontrée, notamment dans le sport de haut niveau et en psychologie de la performance. Elle fonctionne en créant des schémas neuronaux dans votre cerveau, similaires à ceux qui seraient créés par l’action réelle. Cela prépare votre esprit et votre corps à la réussite, renforce votre confiance et vous aide à identifier les étapes nécessaires pour atteindre votre objectif. Ce n’est pas espérer passivement que les choses arrivent, mais programmer activement votre esprit pour qu’il soit un allié dans leur réalisation.

‘Il y a une étude qui a été réalisée sur l’impact de la visualisation dans le sport… Résultat, aucune différence entre les deux équipes. Exactement le même niveau de progression.’

3. N’est-il pas risqué de ‘ne rien lâcher’ et de s’acharner sur une idée qui ne marche pas ?

C’est une excellente question qui touche à la différence cruciale entre la détermination et l’entêtement. Avoir une ‘détermination sans faille’ ne signifie pas s’accrocher aveuglément à une stratégie qui échoue. La détermination porte sur l’objectif final (par exemple, ‘créer une entreprise rentable qui aide mes clients’), pas sur les moyens d’y parvenir. Si une approche spécifique ne fonctionne pas, la détermination vous pousse à ne pas abandonner l’objectif, mais à ‘recommencer autrement’. C’est la capacité à pivoter, à changer de tactique tout en gardant le cap sur votre vision. La clé est d’être flexible sur les méthodes, mais inflexible sur la mission.

‘Avoir une détermination sans faille, ça veut dire que si quelque chose ne marche pas, vous ne vous focalisez pas dessus… Vous vous relevez et vous recommencez. Peut-être autrement, mais vous recommencez.’

4. Comment savoir quand s’inspirer des autres et quand ‘faire ses propres traces’ ?

La règle générale est la suivante : inspirez-vous des ‘quoi’ et des ‘pourquoi’, mais innovez sur le ‘comment’. Observez ce qui fonctionne chez les leaders de votre marché (le ‘quoi’). Comprenez les principes fondamentaux derrière leur succès (le ‘pourquoi’). C’est votre phase d’apprentissage. Ensuite, au lieu de copier leur exécution à la lettre, demandez-vous : ‘Comment puis-je appliquer ces principes d’une manière qui soit unique à ma personnalité, à ma marque et à mes valeurs ?’ C’est là que vous commencez à faire vos propres traces. L’inspiration vous donne la direction, votre créativité et votre authenticité dessinent le chemin.

‘Ça ne sert à rien de passer son temps à réinventer la roue… Mais il faut aussi savoir être créatif et ne pas se laisser enfermer dans la technique de monsieur tout le monde.’

5. Montrer ses failles sur les réseaux sociaux ne risque-t-il pas de nuire à ma crédibilité professionnelle ?

Il y a une différence entre partager ses failles et manquer de professionnalisme. Partager une faille de manière constructive, c’est raconter une histoire : ‘Voici le défi que j’ai rencontré, voici comment je l’ai surmonté, et voici la leçon que j’en ai tirée’. Cela ne nuit pas à votre crédibilité, au contraire, cela la renforce. Vous ne vous positionnez pas comme quelqu’un qui échoue, mais comme quelqu’un qui apprend, qui est résilient et qui est capable de guider les autres à travers des épreuves similaires. Cela crée de l’empathie et de la confiance, bien plus qu’une image parfaite et inatteignable.

‘C’est 1000 fois plus inspirant quelqu’un qui me dit j’ai rencontré les pires galères et voilà ce que j’ai fait pour les surmonter que quelqu’un qui me dit ‘regardez comme ma vie est super’.

6. Comment conserver un état d’esprit positif face aux difficultés réelles comme le manque de clients ?

Le positivisme entrepreneurial n’est pas le déni de la réalité. Il s’agit de choisir où vous portez votre attention. Face à un manque de clients, l’approche négative se focalise sur le problème (‘personne ne veut de mon offre’). L’approche positive, elle, se focalise sur les solutions (‘quelles actions puis-je mettre en place aujourd’hui pour trouver mon prochain client ?’). C’est un changement actif de perspective. Célébrez les petites victoires, analysez ce qui a fonctionné par le passé, concentrez-vous sur les actions que vous pouvez contrôler et rappelez-vous constamment votre ‘pourquoi’. Le positif attire le positif, car une mentalité orientée solutions vous rend plus créatif et proactif.

‘Si vous êtes dans un état d’esprit positif, si vous mettez toujours en avant ce qui marche et les solutions plutôt que les problèmes, les gens verront plutôt vos solutions que vos problèmes.’