Pourquoi vos lancements en ligne ne décollent pas (et comment y remédier)
Hello à toi leader d’impact. Aujourd’hui, je vais te parler d’un sujet essentiel qui va t’emmener vers ta liberté financière et ton indépendance, ce pourquoi tu es en activité tous les jours, ce pourquoi tu te donnes corps et âme. Si tu as déjà organisé un challenge, une conférence, une master class, ou un lancement, mais que les ventes ne suivent pas à la hauteur de tes ambitions, cet article est pour toi. Je vais te présenter les erreurs fatales qui ruinent tes ventes et ta confiance en toi au passage. Je sais que c’est frustrant. Tu as mis toute ton énergie, mais aujourd’hui tu ne comprends pas ce qui ne fonctionne pas. Tu as l’impression d’avoir tout fait. Quand tu regardes les autres qui réussissent, tu te dis : ‘mais je comprends pas pourquoi elle, elle réussit, moi je fais quasiment la même chose mais moi ça ne fonctionne pas’. Et bien, on va analyser ensemble les erreurs qui sabotent tes lancements.
Tout ce que je vais te présenter est appuyé sur mon expertise de 8 ans dans les lancements. Nous allons particulièrement nous concentrer sur les exemples liés à mon modèle chouchou : les challenges. C’est un modèle unique, authentique et humain qui te permet de vendre sans plus jamais être dans la force. Mais les erreurs que je vais te présenter sont exactement les mêmes que je rencontre chez les personnes qui me contactent en disant : ‘Je comprends pas, j’ai fait un challenge, une master class, un webinaire, et ça ne fonctionne pas comme je voudrais. J’ai besoin de ton œil de lynx’. Donc, tout ce que je vais aborder est valable pour tous les modèles de lancements en ligne.
Les 2 prises de conscience essentielles avant de lancer votre challenge
Avant de plonger dans les erreurs techniques, il y a deux points de mentalité cruciaux à aborder. Ce sont souvent les premiers blocages qui empêchent même de commencer ou de persévérer.
Cessez d’attendre le moment parfait : la perfectionnite aiguë
La première chose qui me semble essentielle, c’est d’attendre le bon moment, le moment parfait, que tout soit prêt. Ça s’appelle de la perfectionnite aiguë. Bonne nouvelle, mauvaise nouvelle : tu ne seras jamais prête. Il y aura toujours des imprévus, toujours des bugs, toujours du stress, toujours des manques, et c’est normal. J’ai vécu ces problèmes peut-être 50 fois en 15 ou 20 lancements, car il y a toujours un nouveau qui se présente. Pour moi, il vaut mieux se tester soi et tester ses outils maintenant, pendant que tu n’es pas encore Beyoncé.
Pour te montrer que ça n’arrive pas qu’aux autres, laisse-moi te raconter une histoire. Il y a 7 ans, je lance ma première conférence en ligne. Je suis en plein direct, et je ne comprends pas pourquoi il n’y a que trois personnes alors que j’avais 60 inscrits. J’arrive quasiment au moment de présenter mon offre et là, un petit compteur s’allume avec un décompte : 5, 4, 3, 2… Je comprends que mon outil Zoom va se couper parce que je n’avais pas vérifié que la version gratuite se limitait à 40 minutes. Un autre exemple : l’année dernière, alors que je suis experte sur le sujet, je dois partager mon Zoom sur Facebook pour un lancement. Zoom a décidé de changer son application, impossible de partager mon écran. J’ai 400 participantes en attente et mon équipe qui m’envoie des SOS. Aujourd’hui, j’en rigole, mais c’est pour te dire qu’en vrai, tu ne seras jamais prête. Entraîne-toi.
Arrêtez de penser court terme et construisez un système pérenne
Le deuxième élément essentiel, c’est de ne pas penser long terme, mais de voir court terme. Le court terme, c’est pour les personnes qui veulent du facile, tout de suite, immédiat. Tu vas peut-être y arriver avec un modèle que tu vas essayer, sauf que ça ne sera pas pérenne sur les années à venir ou alors ça va te demander sans arrêt énormément d’énergie. Ça te parle ?
C’est comme la première fois qu’on t’a appris à faire du vélo, ça paraissait impossible, mais tout est faisable. C’est une marche à la fois, une étape à la fois. Rien ne sert de courir. Peut-être qu’aujourd’hui, tu regardes les masterclass et les challenges en te mettant une énorme pression, en voyant la liste sans fin de tout ce qu’il y a à mettre en place. Oui, c’est le cas, mais ça peut aussi être simple selon tes objectifs. Si tu vises 5 000 € par mois, tu ne mettras pas en place la même énergie que quelqu’un qui vise 100 000 € par mois.
Alors demande-toi : est-ce que tu préfères consacrer quelques semaines, quelques mois à essayer, affiner, améliorer pour trouver ta propre recette, un modèle qui te correspond, et ensuite avoir un système solide ? Moi, avec ma méthode de challenge, ça fait 15 fois que je fais le même. C’est cette sécurité, cette structure qui me permet de kiffer, d’être dans mon flow, parce qu’elle est solide. On a déjà généré plus de 3 millions avec ce modèle. Est-ce que tu préfères ça, ou avoir des systèmes au doigt mouillé, ce que j’appelle du ‘marketing espoir’ ? Veux-tu un chiffre d’affaires stable et des revenus où tu te sens en sécurité, ou des revenus en dents de scie ? On ne peut pas vivre dans une insécurité financière permanente.
Les erreurs fatales qui ruinent vos ventes en challenge et masterclass
Maintenant que les bases sont posées, entrons dans le vif du sujet. Voici les erreurs concrètes que je vois tous les jours et qui plombent les résultats de nombreux entrepreneurs.
Erreur 1 : Une promesse trop vague qui n’attire personne
La première erreur, c’est d’avoir une promesse trop vague, trop généraliste, pas assez impactante. Un challenge ou une conférence qui ne propose pas une transformation claire et désirable n’attire pas. Ton audience doit se dire : ‘c’est exactement ce dont j’ai besoin’. Avec la masse de concurrents, si ton message est mou comme du chamallow, ça ne fonctionnera pas. Ton message doit être clair et différenciant.
Par exemple, un challenge ‘4 jours pour reprendre confiance en toi’. Non. C’est généraliste, c’est bateau. Confiance en soi pourquoi ? Pour rencontrer l’homme de sa vie ? Pour monter sur scène ? C’est trop large. Autre exemple : ‘Challenge vivre de son activité’. Non. Quel type d’activité ? Tu attires tout le monde, du charcutier à l’esthéticienne. Si à la fin tu vends une offre pour développer son activité en faisant du porte-à-porte, la moitié des inscrits ne seront pas intéressés. Tu auras beaucoup d’inscrits, mais personne n’achètera. Un titre généraliste amène beaucoup de curieux, mais peu de ventes, car il n’y a pas d’alignement entre le sujet de ton événement et l’offre que tu proposes.
En conclusion, je préfère avoir 50 inscrits précis, qualifiés, grâce au bon message, et faire 10 ventes, que d’avoir 500 inscrits et faire zéro vente. Non, tu n’as pas besoin d’une grosse audience pour vendre. Une bonne personne, un bon message, une bonne offre, et tu vends.
Erreur 2 : Un contenu éducatif qui n’amène pas à la vente
La deuxième des erreurs de lancement en ligne est d’avoir un contenu qui n’amène pas naturellement à votre offre. Si ton challenge est juste éducatif et ne prend pas en compte la psychologie de ton client idéal, les participants apprendront, mais ne ressentiront pas le besoin d’acheter. Tu vas juste leur donner des informations. Sauf que des informations sur ton sujet, ça existe déjà partout. Le contenu de ton challenge doit amener à des prises de conscience pour les amener à ton offre. Tu dois leur montrer qu’ils ont fait un bout de chemin avec toi, mais qu’ils ont besoin d’aller plus loin. ‘Tu sens bien qu’il y a des manques. Tu sens bien que tu manques de ventes, et j’ai une solution’. La solution, c’est la suite logique.
Un mauvais exemple serait un challenge ‘X jours pour prendre confiance en toi’ où chaque jour tu donnes une astuce. ‘Aujourd’hui, aborde quelqu’un dans la rue’. ‘Demain, mets un pull de couleur’. À la fin, ils se disent ‘c’était sympa’, mais rien de plus. Tu recevras des likes et des mercis, mais pas des ventes à la hauteur de tes espérances.
Erreur 3 : Une durée inadaptée qui fatigue votre audience
Un challenge trop court ne crée pas l’engagement, un challenge trop long fatigue ton audience. C’est comme une série Netflix de trois épisodes ou de 20 épisodes de 3 heures chacun. Soit ça passe trop vite et tu n’as pas tout compris, soit ça devient une corvée et tu ne regardes même pas la fin. On va suivre pendant 3, 4, 5 jours, mais après c’est beaucoup trop. Les challenges de 21 jours, d’un mois, on oublie. Ton prospect disparaît complètement et n’arrive même plus à se concentrer sur ta proposition de vente.
Erreur 4 : Un manque d’engagement et d’interaction
Si tes participants ne sentent pas d’implication, s’il n’y a pas de rappels, pas d’interaction, pas d’espace pour échanger et poser des questions, ils décrochent. L’énergie collective est un moteur puissant pour maintenir l’attention et préparer le terrain pour la vente. Sans cela, votre événement devient une simple consommation passive de contenu.
Erreur 5 : Un appel à l’action trop timide pour convaincre
C’est le moment où tu n’oses pas te vendre. Je vois des entrepreneurs qui sont heureux de donner du contenu gratuit, et au moment de proposer leurs services, leur corps se recroqueville. ‘Alors euh, je veux pas vous déranger longtemps…’. Bref, tu as compris. Il faut être convaincue pour être convaincante. Il faut un passage fluide, une invitation claire et assumée à passer à l’action. Souvent, la peur de vendre vient du fait que vous ne vous entraînez pas et que personne ne vous donne un regard extérieur pour vous aider à mieux présenter les choses.
Erreur 6 : Une offre qui n’est pas irrésistible
Tu as des inscrits, un super engagement, tout est parfait. Mais ton offre n’est pas irrésistible. C’est comme si tu organisais une super pool party avec une ambiance incroyable, et à la fin, tu sers un café tiède avec une biscotte rassie. Ton offre, c’est la cerise sur le gâteau. Elle doit leur faire dire instantanément : ‘Je suis complètement dingue si je ne saisis pas cette opportunité’.
Pour créer une offre irrésistible, il faut travailler sur ce qui la rend différente, créer une expérience VIP, et non juste ‘5 séances avec moi’. Quand mes clientes travaillent sur leur offre, elles réalisent la valeur immense de ce qu’elles apportent. Elles peuvent alors fixer un tarif juste, prendre confiance en elles et deviennent excitées de présenter cette offre sexy, alors qu’avant, c’était bancal et fragile.
Erreur 7 : Vouloir passer en evergreen trop rapidement
La fameuse phrase : ‘Aurélie, moi je veux des revenus passifs’. Ceux qui en sont là ont mis plusieurs années avant que leur tunnel tourne tout seul. Et la vérité, c’est que ça n’existe quasiment pas, car il faut toujours améliorer, mettre de la publicité, créer du contenu. Pour moi, il faut déjà avoir essayé plusieurs fois ton challenge en direct, l’améliorer, le réessayer, jusqu’à obtenir les ventes que tu désires. Quand tu tiens une version où tu as kiffé et eu de bons résultats, là, OK, tu peux commencer à le mettre en replay.
Erreur 8 : Naviguer à l’aveugle sans connaître vos chiffres (KPIs)
Imagine ton challenge comme un train avec des wagons. À chaque wagon, il doit y avoir un chiffre pour qu’il roule parfaitement. Ou alors, c’est comme être un pilote d’avion qui pique du nez sans savoir sur quel bouton appuyer. Connaître ses chiffres, c’est un gain de temps, d’énergie et d’argent. Juste dire ‘mon challenge n’a pas fonctionné’ ne veut rien dire.
Je prends l’exemple de Sylvie, qui m’a contactée car ses masterclass ne convertissaient pas assez. En étudiant chaque élément, on s’est rendu compte que sa page d’inscription avait un taux de conversion de 1,7%, alors qu’un bon taux est autour de 25% sur du trafic froid. Sa promesse était floue. On a retravaillé sa page, et en 4 jours, son taux est passé à 19% et elle a triplé ses ventes. C’est une suite logique : on regarde les chiffres à chaque étape (promotion, inscription, participation, vente) et on améliore là où ça coince.
Erreur 10 : Ne pas analyser et ajuster pour progresser
Beaucoup d’entrepreneurs font un challenge, voient que ça ne fonctionne pas comme ils l’imaginaient et passent à autre chose sans chercher à comprendre. Abandonner au premier essai est une erreur. Pour moi, il faut essayer et améliorer sans relâche jusqu’à obtenir la formule parfaite. Pour nous, ça nous a pris environ trois challenges pour obtenir le bon combo, qui nous a permis ensuite de générer 3 millions en 5 ans avec 15 lancements.
Vous n’êtes pas seule : l’importance de se faire accompagner
On ne sait pas ce qu’on ne sait pas. Tous les jours, je vois des entrepreneurs qui essaient seules depuis des années et perdent confiance. Elles se disent ‘je suis nulle’ et arrivent en me disant ‘tu es mon dernier espoir’. Le problème, c’est qu’elles passent d’un modèle à l’autre sans comprendre la cause racine de l’échec. Parfois, juste une heure avec une experte peut montrer exactement ce qui ne fonctionne pas et pourquoi. Mes clientes me disent souvent : ‘J’ai perdu tellement d’années à me faire du mal’. Oui, tu perds du temps et de l’argent. Le jour où tu te sens prête à dire ‘j’ai envie d’être libre financièrement’, envoie un message. Tu verras que ça peut radicalement tout changer.
FAQ : Les réponses à vos questions sur les lancements en ligne
Pourquoi mon challenge n’attire-t-il pas assez d’inscrits ?
Le manque d’inscrits vient souvent de deux problèmes majeurs : une promesse trop vague ou une promotion inefficace. Si votre promesse n’est pas claire, spécifique et désirable pour votre client idéal, personne ne se sentira concerné. Il faut que votre message soit percutant et différenciant.
‘Si ton message il est moumou comme du chamallow, autant dire que ça ne va pas fonctionner et tu vas dire ‘Je comprends pas, j’ai pas d’inscrit, pas assez’. Ton message doit être clair et différenciant.’
Comment créer une offre de coaching vraiment irrésistible ?
Une offre irrésistible va au-delà d’une simple liste de services. Elle doit proposer une transformation claire, créer une expérience client unique (VIP), et mettre en avant ce qui vous différencie de la concurrence. Lorsque vous êtes convaincue de la valeur immense de votre offre, vous pouvez la présenter avec confiance et fixer un prix juste.
‘Ton offre, c’est la cerise sur le gâteau. Si tu en fais un chamallow mou […] ça va être compliqué. Ils doivent ressentir de ‘c’est exactement ce qu’il me faut’.’
Quel est un bon taux de conversion pour une page d’inscription de webinaire ?
Les chiffres varient, mais un bon point de repère est un taux de conversion d’environ 25% pour des prospects ‘froids’ (qui ne vous connaissent pas, venant de la publicité). Pour votre communauté existante (prospects ‘chauds’), ce taux peut facilement doubler car la confiance est déjà établie.
‘Une bonne page d’inscription sur des prospects froids est environ de 25 %. Entre le nombre de personnes qui regardent ta page d’inscription […] et le nombre de personnes qui vont s’inscrire, si tu as un taux de 25 % sur des personnes froides […] c’est super.’
Comment vendre après un webinaire gratuit sans être trop ‘pushy’ ?
La clé est de créer une transition naturelle. Votre contenu gratuit doit avoir créé des prises de conscience chez les participants, leur faisant réaliser qu’ils ont un problème et que vous avez la solution. La présentation de l’offre devient alors la suite logique et attendue, une invitation assumée plutôt qu’un pitch de vente forcé.
‘Il faut vraiment un passage fluide entre la fin de ton contenu gratuit pour présenter ton offre, une invitation claire, assumer de passer à l’action et d’acheter ta solution.’
Quelle est la durée idéale pour un challenge en ligne ?
Il n’y a pas de règle absolue, mais il faut trouver le juste milieu. Trop court, l’engagement n’a pas le temps de se créer. Trop long (plus de 5 jours), vous risquez de fatiguer et de perdre votre audience. La durée idéale se situe souvent entre 3 et 5 jours, assez pour créer un lien et une dynamique sans lasser.
‘Un challenge trop court ne crée pas l’engagement, un challenge trop long, il fatigue ton audience. […] On va suivre à la limite sur les 3, 4, 5 jours mais après c’est beaucoup trop.’
Comment faire si j’ai une petite audience pour mon lancement en ligne ?
Une grosse audience n’est pas un prérequis pour réussir un lancement. Il est plus important d’avoir une audience qualifiée. Concentrez-vous sur la plus grosse problématique de votre client idéal et adressez-la avec un message clair et une offre pertinente. Mieux vaut 50 inscrits très ciblés que 500 curieux.
‘Non, tu n’as pas besoin d’avoir une grosse audience pour vendre. Une bonne personne, un bon message, une bonne offre, tu vends. Donc oui, même si tu as une petite audience, c’est possible.’
Quand est-il judicieux de passer un lancement en evergreen (automatisé) ?
Ne passez en evergreen qu’après avoir testé et perfectionné votre modèle de vente en direct plusieurs fois. Vous devez avoir une version qui convertit de manière fiable, où vous vous sentez à l’aise et en énergie. L’automatisation vient pour scaler un processus qui a déjà fait ses preuves, pas pour espérer qu’un modèle qui ne fonctionne pas en live se mette à vendre tout seul.
‘Pour moi, il faut déjà avoir essayé plusieurs fois ton challenge ou ton modèle de vente, l’améliorer, le réessayer […] pour obtenir les ventes que tu désires et te dire ‘Wahou, celui-là, il était ouf’. Là, OK, tu peux commencer à le mettre en replay.’
Quels sont les KPIs les plus importants à suivre pour un lancement ?
Suivez chaque étape de votre ‘tunnel’ : le taux de conversion de votre page d’inscription, le taux de présence à l’événement (show-up rate), le taux d’engagement pendant l’événement, le taux de clics sur votre offre, et enfin, le taux de conversion en ventes. Analyser ces chiffres vous permet d’identifier précisément le maillon faible de votre chaîne et de le corriger.
‘Connaître ses chiffres, c’est un gain de temps, d’énergie et d’argent parce que juste dire mon challenge n’a pas fonctionner, ça veut rien dire. […] c’est comme si c’était un tunnel et à chaque endroit, on sait exactement les chiffres.’




