Travailler dur pour réussir : et si c’était le plus grand mensonge de l’entrepreneuriat ?
Hello à toi, leader d’impact. Aujourd’hui, on va s’attaquer à une croyance tenace, un véritable pilier de notre société : l’idée qu’il faut absolument travailler fort et dur pour réussir. Mais est-ce un mythe, une réalité, ou une excuse pour justifier notre propre épuisement ? Avant d’aller plus loin, j’aimerais vous poser une question, une question si simple et pourtant si fondamentale que la plupart des entrepreneurs oublient de se la poser, que ce soit au lancement ou à chaque nouveau palier de croissance.
Oubliez un instant les diktats de la société, les modèles de réussite que vous voyez défiler sur les réseaux sociaux, les attentes de votre entourage. Juste pour vous. ‘Pour toi, ma chère leader, que signifie réussir ?’ Cette question, c’est le point de départ de tout. C’est elle qui déterminera votre liberté d’être, votre liberté financière, votre paix de l’esprit, et finalement, votre bonheur. C’est le gouvernail de votre navire. Sans une réponse claire, vous risquez de naviguer à vue, de courir sans relâche pour finalement vous demander : ‘Pourquoi je fais tout ça ?’
Redéfinir la réussite : votre boussole intérieure avant tout
La première étape pour travailler moins et gagner plus, c’est de savoir où vous allez. Votre vision de la réussite est votre destination finale. Sans elle, vous risquez de suivre une carte qui n’est pas la vôtre. On court, on court, on court, et un jour on se réveille en se demandant après quoi on court vraiment. Le vrai danger, c’est de passer des années à poursuivre un but qui n’est pas le nôtre.
Réussir, ça ne veut pas forcément dire générer des millions, avoir une grande équipe ou travailler trois jours par semaine. Pour certains, ce sera le cas. Pour d’autres, réussir signifiera avoir un revenu stable de 3000 € par mois qui leur permet de ne jamais travailler le weekend pour être avec leurs enfants. Tout est possible, et c’est là toute la beauté de l’entrepreneuriat. C’est vous qui fixez les règles du jeu. Votre définition personnelle est la seule qui compte. Elle vous permettra d’établir votre propre modèle, votre propre plan d’action.
Le but n’est pas de ‘générer des milliers et des millions et te noyer comme un Picsou dans tous ces trésors’, mais plutôt de se demander : ‘Et si je construisais un business au service de mon bien-être personnel ?’ Cette approche change tout. Votre entreprise devient un véhicule pour la vie que vous désirez, et non une fin en soi qui dévore votre existence.
Après quoi courez-vous vraiment ?
Cette question que j’adore poser à mes clientes en mentoring, ‘Après quoi tu cours ?’, est essentielle. Elle force à l’introspection. Est-ce que vous courez après la reconnaissance ? La sécurité financière ? La liberté de voyager ? La possibilité de ne plus jamais avoir à regarder votre compte en banque ? Soyez honnête avec vous-même. Ma propre définition de la réussite est née de mon histoire personnelle. Ayant connu la rue, ma motivation profonde est d’être libre de choisir : qui j’aime, où je travaille, quand je travaille, et même si je ne veux pas travailler. Ce ‘pourquoi’ puissant est le carburant qui m’a permis de tenir, mais aussi de savoir quand il était temps de ralentir.
Le mythe du succès facile : la vérité crue sur les premières années d’entrepreneuriat
Soyons clairs, je ne suis pas là pour vous vendre le mythe de la réussite facile. Les réseaux sociaux nous montrent souvent une version édulcorée de l’entrepreneuriat : les voyages, les lancements à succès, l’argent qui semble tomber du ciel. La réalité est bien différente. Heureusement, en 2024, de plus en plus d’entrepreneurs osent parler de leurs doutes, de leurs échecs, de leurs périodes d’épuisement. Et c’est une excellente chose, car ça enlève une pression énorme.
La vérité, c’est que 90 % des entrepreneurs à succès ont travaillé énormément, fort et dur, au moins pendant les deux à trois premières années de leur business. Moi la première. Quand vous me voyez aujourd’hui, voyageant dix fois par an avec une entreprise qui tourne même en mon absence, ne faites pas l’erreur de croire que ça s’est fait en un claquement de doigts. Comme je le dis souvent : ‘Ne compare pas ton chapitre 1 à mon chapitre 24.’ Ça fait 8 ans que je suis dans le business. Mon premier lancement, c’était trois personnes sur Zoom, dont une était déjà cliente… et la troisième, c’était moi !
J’ai pris la décision délibérée de tout donner pendant les trois premières années. Mon corps, mon âme, mes tripes. Je savais que je devais construire des fondations solides. J’ai exploité le feu, l’élan et l’innocence des débuts pour bâtir un socle qui me permettrait ensuite de ralentir. Ce n’était pas une fatalité, c’était un choix stratégique avec une date de fin. L’erreur est de croire que ce rythme est soutenable ou même souhaitable sur le long terme.
Les 4 piliers pour travailler moins, gagner plus et construire un business durable
Après des années d’obsession pour mon business, où je mangeais, dormais et vivais pour lui, j’ai compris quatre grands principes qui ont tout changé. Ces piliers sont devenus non négociables pour moi, et ils sont la clé pour passer d’un travail acharné à un travail intelligent et épanouissant.
Pilier 1 : Reprenez le contrôle sur votre agenda (et votre vie)
Parlons-en de cette ‘putain de to-do list sans fin’. Au début, je me disais : ‘Je fermerai l’ordinateur quand j’aurai fini ce projet’. Grave erreur. Un projet en chasse un autre. Votre to-do list ne sera JAMAIS terminée. L’attente du ‘moment parfait’ pour se reposer (‘quand le challenge sera fini’, ‘quand j’aurai délégué ce poste’) est un leurre. Il y aura toujours autre chose. Si vous ne décidez pas activement de fermer votre ordinateur à une heure précise, vous construisez vous-même votre propre salariat déguisé, votre propre prison dorée. En tant qu’entrepreneur, il n’y a pas de patron pour vous mettre à la porte à 18h. C’est à vous, et à vous seule, de poser ces frontières saines entre votre vie pro et votre vie perso.
Pilier 2 : Votre bien-être comme indicateur de performance n°1
Ma vie compte plus que le reste. Cette phrase doit devenir votre mantra. Je préfère un business avec une croissance constante et douce de 100% ou 200% par an, plutôt qu’une croissance explosive de 500% qui me coûte ma santé physique, ma santé mentale et mes relations. Pourquoi ? Parce que, comme je le dis toujours, ‘mon argent ne rachètera jamais les moments que je peux passer avec les gens que j’aime’. Un business n’a de sens que s’il sert votre épanouissement. Si vous avez construit votre entreprise pour être libre, ne la laissez pas vous enchaîner. Revenez régulièrement à votre ‘pourquoi’. Est-ce que vos actions quotidiennes vous rapprochent de la liberté pour laquelle vous vous battez ?
Pilier 3 : Le repos n’est pas une récompense, c’est une stratégie
Le repos est l’élément le plus sous-estimé de la performance. Combien de fois vous êtes-vous dit : ‘Je prendrai des vacances quand j’aurai atteint mes objectifs’ ou ‘Je ne peux pas me reposer, je suis épuisée mais ce projet doit être fini’ ? C’est une vision court-termiste. Votre cerveau a besoin de temps off pour être créatif, pour trouver des solutions, pour innover. Pensez aux trains à grande vitesse : même eux s’arrêtent en gare pour se ravitailler. Travailler en ‘compte-gouttes’, en étant jamais vraiment au travail ni vraiment en repos, est la recette parfaite pour l’explosion en plein vol. Vous culpabilisez de ne pas être une bonne mère, de ne pas être une bonne entrepreneure, et au final, vous êtes inefficace partout. Le repos n’est pas un luxe, c’est un investissement. ‘C’est pas en ayant la tête dans le guidon que tu seras productive ou efficace, c’est justement en ayant de l’espace mental.’
Pilier 4 : La puissance du 20/80 : travailler intelligemment, pas plus longtemps
C’est ici que réside le secret pour travailler moins et gagner plus. Quand j’entends ‘travailler dur’, mon oreille de leader d’expansion entend ‘travailler intelligemment et efficacement’. Vous pouvez travailler 10 heures par jour et ne pas avancer si vous êtes simplement ‘occupée’ et non ‘productive’. La clé est d’identifier votre 20/80 : quelles sont les 20% de vos actions qui vous apportent 80% de vos résultats ?
Posez-vous cette question radicale : ‘Si tu n’avais que 2 à 3 heures par jour pour travailler, qu’est-ce qui serait obligatoire de conserver ?’ Cet exercice vous force à éliminer le superflu et à vous concentrer sur les tâches qui ont un impact réel sur votre chiffre d’affaires, votre visibilité ou votre joie. Analysez les quatre derniers mois : qu’est-ce qui a concrètement apporté des résultats ? Qu’est-ce que vous essayez de faire fonctionner depuis des mois sans succès ? Arrêtez de vous accrocher ‘comme une moule à son rocher’ à des stratégies qui ne fonctionnent pas. Améliorez, testez, et si ça ne marche toujours pas, dégagez-le pour faire de la place à ce qui fonctionne. C’est en vous concentrant sur ce 20% à fort impact que vous pourrez travailler deux fois moins tout en maintenant ou en augmentant vos revenus.
Derrière l’acharnement au travail : ce que cache vraiment la peur du vide
Maintenant, passons au bonus piquant. J’ai remarqué une tendance fascinante chez de nombreuses entrepreneures, même celles qui génèrent des revenus confortables. Elles disent vouloir plus de temps, plus de liberté, mais inconsciemment, elles sabotent cette possibilité. Pourquoi ? Parce que le travail acharné est parfois une stratégie pour ne surtout pas laisser d’espace libre dans sa vie. C’est une fuite en avant.
Cette hyperactivité peut masquer une peur profonde : la peur du rien, la peur de la mort symbolique. ‘Qui je suis quand je ne suis pas en train de bosser ? Qu’est-ce que je vaux quand je ne prouve pas ?’ Pour certaines, l’agenda qui déborde est une preuve de leur valeur. Se reposer pendant que l’équipe travaille peut déclencher une culpabilité immense. Ce besoin de remplir le vide est souvent lié à d’autres schémas compulsifs. C’est un système nerveux déréglé qui crie : ‘Toujours plus !’ pour ne pas avoir à affronter ce qui se cache en dessous.
Prendre conscience de ce mécanisme est la première étape pour s’en libérer. Comprendre que votre valeur n’est pas conditionnée par le nombre d’heures que vous travaillez, mais par qui vous êtes. C’est un travail profond sur la sécurité intérieure, qui permet enfin d’alléger, de simplifier et de jouir des fruits de son labeur sans culpabilité.
En conclusion, le débat n’est pas de savoir s’il faut travailler ou non. L’entrepreneuriat demande de l’engagement et de l’action. La vraie question est : comment travaillez-vous ? Êtes-vous dans un effort acharné et dispersé, ou dans une action focalisée, intelligente et alignée avec la vie que vous désirez ? La liberté ne se trouve pas au bout d’une to-do list sans fin, mais dans la décision consciente de construire un business qui sert votre vie, et non l’inverse.
FAQ : Travailler moins pour gagner plus, mode d’emploi
1. Faut-il vraiment travailler dur et beaucoup pour réussir en entrepreneuriat ?
Oui et non. Il est vrai que les premières années (généralement 2 à 3 ans) demandent souvent un investissement en temps et en énergie plus important pour construire des fondations solides. Cependant, cela doit être une phase consciente et temporaire, et non un mode de vie permanent. Le véritable objectif est de passer progressivement d’un travail ‘dur’ à un travail ‘intelligent’ pour assurer la pérennité de votre business et de votre bien-être.
‘On a pour la plupart à 90 %, tous travaillé énormément fort et dur au moins les en moyenne 2 à 3 premières années de notre business. Limite la plupart jusqu’à avoir un épuisement, une perte d’équilibre, une charge mentale prête à exploser.’
2. Comment définir sa propre vision de la réussite pour ne pas s’épuiser ?
Pour définir votre vision, vous devez vous déconnecter des standards extérieurs (réseaux sociaux, société) et vous poser des questions introspectives profondes. Demandez-vous : ‘À partir de quand estimerai-je que j’ai réussi ?’, ‘À quoi ressemble mon modèle de vie idéal ?’ ou encore ‘Après quoi je cours vraiment ?’. Votre définition de la réussite doit être le point de départ de votre stratégie d’entreprise, car elle garantit que vous construisez un business au service de votre vie, et non l’inverse.
‘Pour toi, ma chère leader, que signifie réussir ? La question is d’une simplicité et en même temps, c’est celle qui déterminera ta liberté d’être, ta liberté financière, ta liberté de l’esprit, le bonheur.’
3. Quelle est la méthode du 20/80 et comment l’appliquer concrètement à mon business ?
La méthode du 20/80, ou loi de Pareto, stipule que 20% de vos actions génèrent 80% de vos résultats. Pour l’appliquer, analysez vos activités des derniers mois et identifiez ce qui vous a réellement apporté des clients, du chiffre d’affaires ou de la visibilité. Posez-vous la question clé : ‘Si je n’avais que 2 à 3 heures par jour pour travailler, quelles seraient les tâches absolument essentielles que je devrais conserver ?’ Cela vous force à prioriser les actions à fort impact et à éliminer celles qui vous ‘occupent’ sans être productives.
‘Ton 20/80, c’est qu’est-ce qui te demande 20 % d’énergie, de travail et qui te rapporte 80 % de résultats. Exemple, si tu me dis je passe 80 % de mon temps à créer des posts, des stories pour les réseaux sociaux et ça me rapporte 20 %, tu te trompes de stratégie.’
4. Comment arrêter de se sentir coupable de prendre du repos ou des vacances ?
Pour vaincre la culpabilité, il faut changer de perspective : le repos n’est pas une récompense que l’on mérite après avoir tout fini, mais une composante stratégique de la performance. Comprenez que votre cerveau a besoin de ‘temps off’ pour rester créatif et efficace. Un entrepreneur épuisé prend de mauvaises décisions. Planifiez vos temps de repos et vos vacances dans votre agenda comme des rendez-vous professionnels non négociables, car ils sont essentiels à la santé à long terme de votre entreprise.
‘C’est pas en ayant la tête dans le guidon que tu seras productive ou efficace, c’est justement en ayant de l’espace mental. […] Ton cerveau a besoin de temps off.’
5. Quels sont les signes que je suis en train de construire ma propre ‘prison dorée’ ?
Les signes d’une ‘prison dorée’ sont subtils mais clairs. Vous avez la sensation que votre to-do list est infinie, vous repoussez constamment votre repos ‘après le prochain gros projet’, et vous avez l’impression de recréer un salariat où vous êtes votre propre pire patron. Un autre signe est de concevoir des offres ou des modèles de livraison qui, au lieu de vous libérer, vous enferment dans des contraintes horaires et des obligations qui vous étouffent.
‘Tu es en train de de construire ton propre salariat déguisé et ta propre prison dorée si tu ne te mets pas de limites personnelles. […] J’ai vu une cliente s’enfermer dans un modèle de livraison d’offre qui va te priver de jouir de ta liberté.’
6. Pourquoi est-ce que je travaille beaucoup sans voir les résultats espérés ?
Travailler beaucoup sans résultats signifie souvent que vous êtes ‘occupée’ mais pas ‘productive’. Vous confondez l’agitation avec l’action efficace. C’est probablement parce que vous n’avez pas identifié et ne vous concentrez pas sur votre 20/80. Vous dispersez votre énergie sur de nombreuses tâches à faible impact (comme passer des heures sur les réseaux sociaux pour peu de retours) au lieu de vous focaliser sur les 2-3 actions qui génèrent 80% de vos résultats.
‘Tu peux travailler de 7h du matin à 20h hein, voir les weekends et ne pas avancer […]. Car tu es occupé et non productive, entre les applications du téléphone, […] ton partenaire qui te demande de tout gérer à la maison. […] C’est normal parce que tu es partout et nulle part.’
7. Le revenu passif et le business qui tourne seul, est-ce un mythe ou une réalité ?
C’est principalement un mythe dans sa version idéalisée. Il est possible de construire un business qui demande moins de votre temps opérationnel direct grâce à des process, des équipes et des offres scalables. Cependant, cela ne signifie pas qu’il n’y a plus rien à faire. Il y aura toujours des décisions stratégiques à prendre, du management, de la gestion et des responsabilités. Le véritable objectif est de tendre vers un modèle plus sain et moins dépendant de votre présence constante, pas vers une absence totale de travail.
‘Non, je ne crois absolument pas au mythe d’avoir un business qui tourne tout seul, sauf si tu es prête à investir des centaines de milliers d’euros dans des équipes qui gèrent tout pour toi. Et là encore, tu auras des décisions, du stress, des responsabilités. Ce fameux revenu passif avec ton business, je n’y crois pas.’
8. Comment savoir sur quelles actions me concentrer quand je débute et que rien ne rapporte encore d’argent ?
Lorsque vous débutez, l’argent n’est pas le seul indicateur de performance. Concentrez-vous sur les actions qui génèrent de l’engagement et des conversations. Analysez ce qui vous rapporte des abonnés qualifiés, des messages privés, des commentaires, des inscriptions à votre newsletter. Ces interactions sont le terreau de vos futures ventes. Si vous faites de nombreuses actions qui ne génèrent aucune discussion, il est temps de revoir votre stratégie avec l’aide d’un mentor.
‘Même si tu me dis ‘Ah oui mais moi Aurélie, je suis pas une entrepreneur avancé, je débute, donc pour l’instant rien ne me rapporte de l’argent’, oui, par contre tu peux constater qu’est-ce qui te rapporte de la joie ? Qu’est-ce qui te rapporte aussi des abonnés, des messages, des discussions parce que c’est ça le principal.’
9. En quoi le fait de trop travailler peut-il cacher une peur du vide ou un besoin de prouver sa valeur ?
L’acharnement au travail peut être une stratégie inconsciente pour éviter de se confronter à soi-même. Un agenda surchargé empêche de se poser des questions existentielles comme ‘Qui suis-je en dehors de mon travail ?’ ou ‘Quelle est ma valeur si je ne produis rien ?’. Le travail devient alors un moyen de remplir un vide intérieur, de prouver sa valeur à soi-même ou aux autres (famille, parents), et de gérer une anxiété latente. C’est un mécanisme de fuite qui empêche d’accéder à un véritable épanouissement.
‘Travail acharné égale ne surtout pas laisser de l’espace libre dans ma vie. La peur du rien, la peur de la mort. Qui je suis quand je ne suis pas en train de bosser ? Qu’est-ce que je vaux quand je ne prouve pas ?’
10. Quelle est la différence entre un business qui m’enferme et un business qui me rend libre ?
Un business qui vous enferme est un business où le modèle d’affaires, les offres et les processus de livraison ne sont pas alignés avec vos valeurs et votre style de vie désiré. Il vous impose des contraintes (horaires fixes, charge de travail écrasante) qui recréent une prison, même si elle est ‘dorée’. Un business qui vous rend libre, à l’inverse, est conçu dès le départ pour soutenir votre définition du succès. Le modèle de vente, le type de client et la manière de délivrer vos services sont choisis pour maximiser votre liberté, votre joie et votre impact.
‘Prenez le temps de vous dire c’est quoi ma réussite ? C’est quoi mon modèle ? C’est quoi mes offres ? Comment je veux servir mes clientes ? Est-ce que ça me rend libre ? Est-ce que ça m’enferme ? Est-ce que ça répond à mes valeurs ?’




