L’erreur du 80/20 qui anéantit votre visibilité : êtes-vous prisonnière de la création de contenu ?
Hello à toi, leader d’impact. Laisse-moi te poser une question, une seule, mais qui pourrait bien changer radicalement la trajectoire de ton business. Est-ce que tu as parfois l’impression de crier dans le désert ? Tu passes des heures, voire des journées entières, à peaufiner des carrousels, à monter des réels dynamiques, à écrire des textes profonds et inspirants… pour finalement n’obtenir qu’une poignée de likes et des ventes qui stagnent. Tu te sens épuisée, frustrée, et tu te demandes : ‘Mais qu’est-ce qui ne fonctionne pas ?’. Cette sensation de blocage, ce plafond de verre que tu n’arrives pas à briser, je la connais trop bien. Et si je te disais que le problème ne vient pas de la qualité de ton contenu, mais de la répartition de ton temps ? Et si la solution était totalement contre-intuitive ? Aujourd’hui, on va parler de cette fameuse loi de Pareto, ce principe du 80/20 que beaucoup d’entrepreneurs appliquent à l’envers, tuant littéralement leur visibilité sans même s’en rendre compte. Je veux te montrer comment une simple inversion de ce ratio peut débloquer ta croissance, te reconnecter à ta communauté et te permettre enfin d’impacter le monde comme tu le mérites. Accroche-toi, car ce que je vais te révéler risque de bousculer toutes tes certitudes sur la stratégie de contenu.
Le diagnostic choc : passez-vous 80 % de votre temps à créer du contenu ?
Soyons honnêtes un instant. Faisons un rapide bilan de ta semaine type. Combien d’heures consacres-tu à la recherche d’idées, à la rédaction, au design sur Canva, au montage vidéo, à la planification de tes posts ? Si tu es comme la majorité des entrepreneures que j’accompagne, la réponse est probablement ‘énormément’. On nous a tellement répété que ‘le contenu est roi’ qu’on a fini par en faire notre unique obsession. On se retrouve alors à passer une écrasante majorité de notre temps, près de 80%, dans cette phase de production. Je te vois d’ici : ‘Est-ce que tu passes 80 % de ton temps à créer du contenu pour les réseaux sociaux, des carrousels, des beaux réels, monter des vidéos, des photos, des longs textes ?’. Cette question n’est pas rhétorique. Elle est le point de départ d’une prise de conscience fondamentale. Le véritable problème, c’est que cette hyper-focalisation sur la création nous laisse avec à peine 20% de notre temps et de notre énergie pour tout le reste : la promotion, la discussion, la vente, la connexion. C’est comme passer des mois à construire une voiture de course magnifique, mais ne lui laisser que quelques litres d’essence pour faire la course. Le résultat ? Tu restes sur la ligne de départ, moteur vrombissant mais sans jamais prendre de vitesse.
L’illusion de la productivité et le piège du perfectionnisme
Ce qui est pervers dans ce modèle, c’est qu’il nous donne l’illusion d’être incroyablement productives. On coche des cases, on remplit notre calendrier éditorial, on a le sentiment du ‘travail accompli’. Mais en réalité, on s’enferme dans une tour d’ivoire. C’est là que le perfectionnisme entre en jeu, ce poison doux qui nous murmure à l’oreille que si seulement ce carré était mieux aligné, si seulement on ajoutait cette petite paillette, alors, tout changerait. Je suis passée par là, et je peux te le dire : ‘les petits cœurs, les petites paillettes, le petit truc… et bien tout le monde s’en fout.’ Ce qui compte, ce n’est pas la perfection de ton visuel, mais la puissance de ton message. J’ai moi-même perdu un temps fou dans ma première année d’entrepreneuriat à chercher la perfection. ‘Je passais des heures dans ma première année d’entrepreneuriat à mettre le carré au bon endroit, à me dire là il faudrait mettre une paillette… Il y a personne qui se rendait compte que j’avais mis 4 heures à mettre le bon cadre et la paillette au bon endroit.’ Ce temps, c’est du temps que tu ne passes pas à discuter avec un client potentiel, à collaborer avec un partenaire ou à inviter les gens à découvrir tes offres. C’est du temps investi dans une tâche à très faible retour sur investissement.
L’audit indispensable : chronomètre en main !
Tu doutes encore ? Tu penses peut-être ‘Non, moi, ça va, je ne passe pas tant de temps que ça’. Je te lance un défi. Pour les deux ou trois prochaines semaines, fais une chose très simple : deviens l’observatrice de ton propre travail. ‘Je vais me mettre un chrono à chaque fois que je commence rien qu’à réfléchir à mon contenu, à monter, à créer, à programmer et tu vas regarder tout le temps que tu y passes.’ Utilise une application de time-tracking ou un simple chronomètre sur ton téléphone. Sois rigoureuse. Chaque minute passée sur Canva, sur CapCut, à écrire une légende, à chercher des hashtags… note-la. À la fin de la période, fais le total. Je suis prête à parier que le résultat va te surprendre, voire te choquer. C’est seulement en objectivant ce temps que tu réaliseras l’ampleur du déséquilibre. C’est la première étape, essentielle, pour pouvoir ensuite te demander : ‘Ok, maintenant, comment je peux faire pour réduire ce temps ? Est-ce que je peux utiliser des templates ? Est-ce que je peux déléguer ?’ Cette prise de conscience est le catalyseur qui va te permettre de réallouer ton énergie là où elle aura un impact monumental.
Passer de l’ombre de la création à la lumière de la connexion est un changement de paradigme. Nous avons identifié le problème : un investissement de temps disproportionné dans une activité à portée limitée. Maintenant que le diagnostic est posé, il est temps de découvrir le remède. Il ne s’agit pas de moins travailler, mais de travailler plus intelligemment, en concentrant nos efforts sur les 20% d’actions qui généreront 80% de nos résultats. Prête à découvrir comment utiliser les 80% de ton temps que tu vas récupérer ?
La règle d’or inversée : allouer 80 % de votre énergie à la connexion et à la promotion
Le secret n’est donc pas de créer plus, mais de faire résonner davantage ce que tu crées déjà. Imagine que chaque contenu que tu publies est une graine. Si tu passes tout ton temps à produire des graines sans jamais les planter, les arroser ou leur donner de la lumière, rien ne poussera. La stratégie que je te propose est de passer beaucoup moins de temps à fabriquer les graines (20%) et beaucoup plus de temps à les cultiver (80%). Ces 80% se divisent en deux piliers fondamentaux et indissociables : la connexion humaine et la promotion active. Ce sont les deux moteurs qui vont propulser ta visibilité bien au-delà de tes abonnés actuels. C’est en sortant de la posture de ‘créatrice’ pour endosser celle de ‘connectrice’ et de ‘promotrice’ que tu vas enfin voir ton audience grandir, ton engagement exploser et tes ventes décoller. C’est un changement radical de perspective : ton travail ne s’arrête pas quand tu cliques sur ‘publier’, c’est là qu’il commence vraiment.
Pilier n°1 : Créer du lien humain, le véritable moteur de votre business
On oublie trop souvent la signification première des ‘réseaux sociaux’. Le mot clé est ‘social’. Ce ne sont pas des plateformes de diffusion de contenu, mais des espaces de conversation et de relation. ‘Ça s’appelle réseau social. Le mot social, ça veut dire quand même social, créer du lien, créer du relationnel, faire des amis, échanger.’ Ton objectif principal, chaque jour, devrait être de créer des conversations. C’est ce qui nourrit les algorithmes, mais surtout, c’est ce qui bâtit la confiance. Quand une personne se sent vue, entendue et considérée par toi, elle passe du statut de simple ‘follower’ à celui de membre de ta communauté, voire de futur client. Concrètement, cela signifie : aller remercier en message privé les personnes qui regardent tes stories, répondre à chaque commentaire non pas par un simple ‘merci’ mais par une question ouverte qui relance l’échange. ‘Quand quelqu’un te laisse un commentaire en te disant : ‘Oh là là, ce poste me parle tellement’, ne lui dis pas juste merci. Tu es en train de fermer la discussion.’ Ouvre-la ! Demande-lui ce qui a résonné, propose-lui d’en discuter. Va en message privé pour demander à ta communauté de quoi elle a besoin. Cet investissement dans l’humain est le plus rentable que tu puisses faire. Il a un double effet : ta communauté se sent privilégiée et l’algorithme, voyant ces interactions, pousse ton contenu à plus de monde.
Pilier n°2 : Promouvoir votre contenu en sortant de votre zone de confort
Le deuxième pilier est tout aussi crucial. Créer un contenu exceptionnel, c’est bien. Mais si tu le laisses confiné sur ton propre compte, tu te prives de 99% de son potentiel d’impact. C’est ce que j’appelle le syndrome de la ‘boîte Instagram’. ‘Si tu ne sors pas de ton Instagram et de ta boîte Instagram, Facebook, LinkedIn ou autre, il y a que les gens qui sont abonnés à ton compte en majorité 10 % qui vont voir ce que tu fais.’ La visibilité ne se crée pas en vase clos. Elle se conquiert en allant à l’extérieur. L’analogie que j’adore utiliser est celle-ci : ‘C’est comme si j’étais dans ma belle maison, je veux rencontrer l’homme de ma vie, j’adore cet exemple et il est dans le parc juste en face. Bah si je sors jamais de chez moi, on va jamais se rencontrer.’ Tu dois sortir de ta maison digitale ! Comment ? En étant invitée sur des podcasts, en participant à des sommets en ligne, en organisant des lives en duo avec d’autres entrepreneurs. Chaque collaboration est une porte d’entrée vers une nouvelle audience, une communauté qui a déjà confiance en la personne qui t’invite. C’est un accélérateur de visibilité et de crédibilité phénoménal. Une seule interview sur un podcast peut t’apporter plus de followers qualifiés qu’un mois de création de contenu acharnée.
Tu comprends maintenant où doivent aller tes efforts. 80% de ton temps doit être consacré à ces actions à haute valeur ajoutée : discuter, échanger, connecter, collaborer, promouvoir. Mais une question brûle sans doute tes lèvres : ‘C’est bien beau tout ça, Aurélie, mais comment je fais pour trouver ces opportunités ? Personne ne me contacte !’. C’est précisément là que la proactivité entre en jeu. Il ne s’agit pas d’attendre que la lumière vienne à toi, mais d’aller la chercher.
Devenir proactif : comment créer vos propres opportunités de visibilité
L’une des objections les plus courantes que j’entends est : ‘Bah oui mais Aurélie, tu es bien sympa moi là, il y a personne qui m’invite.’ C’est une croyance limitante qui te maintient dans l’inaction. La vérité, c’est que les opportunités ne tombent pas du ciel, elles se créent. Attendre d’être ‘assez connue’ ou ‘assez légitime’ pour être invitée est le meilleur moyen de ne jamais l’être. Tu dois changer de posture et passer de passive à proactive. Tu dois décider de ‘sortir de ta grotte’ pour aller dans la lumière. Cela demande du courage, certes, mais le jeu en vaut la chandelle. La bonne nouvelle, c’est qu’aujourd’hui, tu as un ‘non’ par défaut, simplement parce que tu ne demandes pas. En passant à l’action, tu n’as absolument rien à perdre, et tout à gagner. ‘Bonne nouvelle aujourd’hui, tu as 1 an [non] parce que tu ne le fais pas. Demain, peut-être qu’en démarchant 30 personnes pour intervenir sur un podcast, peut-être que tu auras au moins un ou deux oui.’ C’est une simple loi des nombres. L’audace paie toujours plus que l’attente.
L’art de démarcher sans peur : votre guide pour contacter des partenaires
Concrètement, comment fait-on ? La première étape est de lister les personnes avec qui tu aimerais collaborer. Pense aux podcasts que tu écoutes, aux comptes Instagram que tu suis, aux experts de ton domaine ou de domaines complémentaires. Ne te censure pas en pensant ‘ils sont trop gros pour moi’. Tu serais surprise de voir combien de créateurs, même établis, cherchent constamment des intervenants de qualité. ‘Je suis dans des masterminds où il y a énormément d’entrepreneurs à succès qui me disent j’ai du mal à trouver des intervenants régulièrement.’ Une fois ta liste établie, prépare un message de contact personnalisé. Évite les copier-coller génériques. Montre que tu connais leur travail, explique pourquoi tu penses qu’une collaboration serait pertinente pour LEUR audience, et propose une ou deux thématiques claires sur lesquelles tu pourrais intervenir. Sois professionnelle, concise et montre la valeur que tu peux apporter. L’objectif n’est pas de quémander de la visibilité, mais de proposer un échange de valeur, un partenariat gagnant-gagnant.
Partenariats complémentaires vs. concurrentiels : deux stratégies puissantes
Il existe deux grands types de partenariats que tu peux rechercher. Le premier, et le plus évident, est le partenariat complémentaire. Il s’agit de s’associer avec des professionnels qui ciblent la même clientèle que toi, mais avec une offre différente. ‘Par exemple moi… je suis coach business… et je peux demain me rallier et faire un live… avec une partenaire qui elle travaille avec les entrepreneurs aussi… sauf qu’elle, elle leur apprend à faire de la publicité.’ C’est une situation idéale : tu apportes ton expertise à sa communauté, et elle apporte la sienne à la tienne. Vous ne vous faites pas concurrence, vous enrichissez mutuellement vos audiences. Pense à tous les métiers qui gravitent autour du tien : un coach sportif peut s’associer avec une nutritionniste, un copywriter avec un webdesigner, etc. Le deuxième type de partenariat, souvent redouté à tort, est celui avec des ‘concurrents’, des personnes qui font le même métier que toi. Il faut voir cela avec un état d’esprit d’abondance. Faire un live avec un autre coach business n’est pas risqué, c’est une formidable occasion de partager des perspectives différentes, de montrer votre complicité et de laisser l’audience choisir l’énergie qui lui correspond le mieux. C’est sain, transparent et cela démontre une grande confiance en votre propre singularité.
Votre nouvelle feuille de route vers une visibilité authentique et puissante
Le voyage que nous venons de faire ensemble est plus qu’une simple stratégie, c’est une révolution dans votre manière d’aborder votre business en ligne. Il est temps de briser les chaînes de la création de contenu à outrance et d’embrasser votre rôle de leader, de connectrice, de promotrice. Récapitulons le plan d’action : auditez et réduisez drastiquement votre temps de création à 20% de votre emploi du temps. Concentrez-vous sur un contenu impactant, sans vous perdre dans le perfectionnisme. Ensuite, consacrez les 80% restants à créer des conversations sincères et à sortir de votre écosystème pour aller chercher la visibilité là où elle se trouve : chez les autres. C’est un échange, un boomerang. ‘N’oublie pas, tu es un miroir, qu’est-ce que tu donnes, qu’est-ce que tu reçois.’ En offrant votre valeur à de nouvelles audiences, vous recevrez en retour de l’attention, de la confiance et de la croissance. Ne laissez plus la peur ou les fausses croyances vous paralyser. L’impact que vous êtes née pour avoir attend de l’autre côté de cette décision. Alors, à partir d’aujourd’hui, quelle sera la première action que vous poserez pour consacrer 80% de votre temps à l’extérieur, à l’humain, à la discussion, à la relation ? Le jeu ne fait que commencer. À vous de jouer.
Questions fréquentes sur la stratégie de visibilité 80/20
1. Concrètement, comment puis-je réduire mon temps de création de contenu de 80% à 20% ?
Pour réduire ce temps, commencez par un audit précis avec un chronomètre comme suggéré. Ensuite, adoptez des méthodes de travail efficaces : le batching (créer tout le contenu d’une semaine ou d’un mois en une seule fois), l’utilisation de templates pour vos visuels afin de ne pas repartir de zéro, et le recyclage de contenu (transformer un article de blog en carrousel, un live en plusieurs extraits vidéo). L’idée n’est pas de bâcler, mais de stopper le perfectionnisme excessif qui vous fait perdre des heures sur des détails insignifiants. Concentrez-vous sur la clarté et l’impact de votre message plutôt que sur l’esthétique parfaite.
‘Ce qui compte sur tes visuels, c’est d’avoir un mot ou une phrase impactante. Ça, ça va déjà te faire à mon avis réduire du temps.’
2. J’ai peur de déranger les gens en leur envoyant des messages privés. Comment surmonter cela ?
Cette peur est légitime mais souvent infondée. Changez votre perspective : vous n’êtes pas là pour vendre agressivement, mais pour aider et créer du lien. Votre approche doit être sincère et centrée sur l’autre. Ne commencez jamais par parler de vos offres. Posez des questions, intéressez-vous à leurs défis, offrez un conseil ou une ressource gratuitement. Vous ouvrez une porte, vous ne forcez pas le passage. Les gens ont peur de déranger, alors quand vous faites le premier pas avec bienveillance, ils sont souvent reconnaissants.
‘Inconsciemment, les gens ont peur de déranger, ont peur que tu sois occupé, ont peur que leurs questions soient inintéressantes et là, tu ouvres des portes. Tu montres que tu es disponible pour répondre à leurs questions.’
3. Quel type de contenu devrais-je créer dans mes 20% de temps pour qu’il soit le plus impactant possible ?
Puisque vous y consacrez moins de temps, chaque contenu doit être stratégique. Concentrez-vous sur les formats qui apportent le plus de valeur et génèrent de la conversation. Créez du contenu pilier (un article de blog complet, une vidéo YouTube de fond, un épisode de podcast) que vous pourrez ensuite décliner en de multiples micro-contenus. Privilégiez les sujets qui répondent directement aux problèmes les plus douloureux de votre client idéal et qui positionnent clairement votre expertise. Un contenu impactant est un contenu qui éduque, inspire et incite à l’action ou à la discussion.
‘Ce qui compte sur tes visuels, c’est d’avoir un mot ou une phrase impactante.’
4. Comment trouver des opportunités de collaboration (podcasts, lives) quand on débute ?
Commencez par votre réseau proche et les créateurs de contenu de votre taille ou légèrement plus grands que vous. Engagez-vous sincèrement avec leur contenu avant de les contacter. Lors de votre démarchage, soyez hyper-spécifique : proposez 2-3 sujets précis que vous maîtrisez et qui apporteraient une vraie valeur à leur audience. Mettez en avant ce qui vous rend unique. N’ayez pas peur des ‘non’. Chaque démarchage est un entraînement. Rappelez-vous que de nombreux hôtes de podcasts cherchent activement des invités pertinents.
‘J’ai du mal à trouver des intervenants régulièrement. Donc n’hésite pas à aller démarcher. Bonne nouvelle aujourd’hui, tu as 1 an [non] parce que tu ne le fais pas.’
5. Est-ce que cette stratégie 80/20 s’applique à toutes les plateformes (LinkedIn, Facebook, Instagram) ?
Absolument. Le principe de base reste le même partout car toutes ces plateformes sont, à l’origine, des réseaux ‘sociaux’. Les algorithmes, quels qu’ils soient, favorisent toujours les interactions authentiques et les conversations. Bien sûr, les modalités de la promotion et de la connexion peuvent varier (sur LinkedIn, on parlera plus de commentaires pertinents et de réseautage, sur Instagram de lives en duo et de DM), mais la philosophie de fond demeure : moins de temps en production solo, plus de temps en interaction et en diffusion collaborative.
‘Que ce soit Insta, Facebook, peu importe, ils adorent quand il y a des discussions en MP du lien, réseau social.’
6. Répondre aux commentaires prend beaucoup de temps. Comment gérer cela efficacement dans les 80% ?
Considérez ce temps non pas comme une corvée, mais comme le cœur de votre stratégie. Pour être efficace, dédiez des blocs de temps spécifiques dans votre journée à l’engagement (par exemple, 20 minutes le matin, 20 minutes le soir), plutôt que de répondre au compte-gouttes. Utilisez des outils de gestion pour centraliser vos notifications. Surtout, privilégiez la qualité à la quantité : une seule réponse approfondie qui lance une vraie conversation a plus de valeur que dix ‘merci’ génériques. C’est un investissement, pas une dépense de temps.
‘Quand quelqu’un te laisse un commentaire… ne lui dis pas juste merci. Tu es en train de fermer la discussion… Ah OK, super, qu’est-ce qui t’a parlé ? Est-ce que tu aimerais avoir d’autres infos ?’
7. Comment savoir si ma stratégie de promotion et de connexion fonctionne ? Quels indicateurs suivre ?
Les indicateurs de succès vont au-delà des simples ‘likes’. Suivez la croissance de vos abonnés, mais surtout la qualité de cette croissance : sont-ils engagés ? Regardez le nombre de conversations initiées en DM, le nombre de réponses à vos stories, et le taux de clics vers votre site web. Pour vos collaborations, analysez le pic de nouveaux abonnés et le trafic référent après une intervention. Le meilleur indicateur reste qualitatif : sentez-vous que votre communauté est plus proche, plus réactive ? Recevez-vous plus de questions sur vos offres ? C’est le signe que la confiance s’installe.
‘Ça va permettre aux personnes de découvrir que tu es humaine, tu es dans le lien… La visibilité augmente un milliard de fois plus vite lorsque tu fais ça.’




