Logo de l'épisode Comment avoir du succès sur Facebook Ads en 2025 (étude de cas) du podcast Social Scaling

Comment avoir du succès sur Facebook Ads en 2025 (étude de cas)

Épisode diffusé le 28 mai 2025 par J7 Media

Écouter l'épisode :

{
« Analyse du contenu »: {
« theme_principal »: « L’importance de la compréhension financière et du ‘business case’ pour réussir et scaler ses campagnes Facebook Ads, au-delà de la simple optimisation des publicités. »,
« sous_themes »: [
« L’évolution de la notion de croissance : du revenu à la profitabilité. »,
« Le rôle du media buyer en tant que conseiller stratégique et financier. »,
« L’étude de cas d’une entreprise passant de la perte au profit en restructurant sa stratégie financière. »,
« Le concept du ‘ratio d’exercice’ (revenus nouveaux clients vs. clients existants) comme levier de scalabilité. »,
« L’application du ‘business case’ aux jeunes entreprises (acquisition à profit vs. à perte). »
],
« ton_detecte »: « Expert, didactique, conversationnel et stratégique. Le ton est celui d’un expert (Antoine Gagné) partageant des apprentissages concrets tirés de son expérience d’agence. »,
« points_cles »: [
« Le succès sur Facebook Ads dépend moins de l’opérationnel (media buying pur) que de la stratégie financière globale de l’entreprise. »,
« Beaucoup d’entreprises échouent car elles ne connaissent pas leurs chiffres clés, notamment leurs coûts fixes, ce qui les empêche de définir un coût d’acquisition cible viable. »,
« Le paradigme a changé : l’objectif n’est plus la ‘croissance à tout prix’ mais la ‘croissance à bon prix’, c’est-à-dire rentable et durable. »,
« Le media buyer moderne doit parler le langage de la finance pour devenir un partenaire stratégique indispensable et éviter le ‘dialogue de sourd’ avec les équipes financières. »,
« Le ‘ratio d’exercice’ est un indicateur clé. En favorisant les revenus issus des clients existants, une entreprise peut se permettre un coût d’acquisition plus élevé pour les nouveaux clients et ainsi scaler plus agressivement. »,
« Une analyse financière approfondie peut transformer une entreprise en perte en une machine à profit, même en augmentant les dépenses publicitaires. »,
« Les jeunes entreprises doivent définir dès le départ leur ‘business case’ : viser une acquisition à profit (plus lente) ou à perte (plus rapide, souvent financée). »
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« keyword_principal »: « succès Facebook Ads »,
« keywords_secondaires »: [
« scaler Facebook Ads »,
« rentabilité Facebook Ads »,
« stratégie e-commerce »
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« keywords_longue_traine »: [
« pourquoi mes pubs facebook ne sont pas rentables »,
« comment augmenter budget facebook ads »,
« calculer rentabilité campagne facebook »,
« coût d’acquisition client facebook ads »,
« différence entre revenu et profit »,
« comprendre les chiffres de son e-commerce »,
« optimiser la marge bénéficiaire e-commerce »,
« ratio d’exercice marketing »,
« acquérir des clients à perte »,
« business case pour la publicité en ligne »,
« le rôle du media buyer a évolué »,
« faire de la croissance à bon prix »,
« analyser un bilan financier pour le marketing »,
« qu’est-ce qu’un coût fixe en marketing »,
« comment Facebook Ads peut générer du profit »
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« Meta »: {
« Meta description »: « Découvrez pourquoi certaines entreprises échouent sur Facebook Ads malgré un bon ROAS. Une étude de cas révèle comment la finance est la clé du succès en 2025. »
},
« Article »: « 

Pourquoi certaines entreprises ont du succès sur Facebook Ads et d’autres non ?

Pourquoi certaines entreprises sont-elles capables d’augmenter leur budget sans risque alors que d’autres sont totalement cloisonnées à un budget fixe, même avec le même type d’activité ? Et surtout, existe-t-il un modèle pour le reconnaître et agir en conséquence ? Pour répondre à ces questions, nous allons nous plonger dans les réflexions d’Antoine Gagnier, fondateur de l’agence J7 Media, qui gère pas moins de 50 millions de dollars sur Facebook Ads par an. Très souvent, nous nous concentrons sur l’opérationnel : les tests, les créatifs, les études de cas. Cette fois, nous allons revenir à la base : le business case. Autrement dit, comment une entreprise fait de l’argent et comment on traduit cela en stratégie sur Facebook Ads.

La différence fondamentale entre deux e-commerces de la même industrie

Sur deux e-commerces dans la même industrie, qu’est-ce qui fait la différence entre celui qui est coincé à un certain budget et celui qui peut augmenter son budget indéfiniment ? C’est une question que l’on se pose constamment. Comme le dit Antoine Gagnier, “appelons un chat un chat, c’est ce qu’on doit faire au quotidien avec notre organisation. Une entreprise vient nous voir pour faire plus de croissance, mais pas simplement plus de croissance de revenus.” Et c’est là que tout commence.

De la croissance à tout prix à la croissance rentable : le changement de paradigme

La narrative autour de la croissance a énormément évolué ces dernières années. Avant la période Covid, l’unique obsession était le revenu. En 2020 et 2021, c’était encore plus vrai : faire plus de revenus, souvent au détriment de la profitabilité. Puis, la conjoncture économique a changé.

L’ère de la \ »croissance à bon prix\ »

Du jour au lendemain, les grandes entreprises technologiques ont commencé à parler d’efficacité et de profitabilité. Ces géants deviennent souvent le porte-étendard pour toutes les autres entreprises. La mentalité a changé. Antoine Gagnier le résume ainsi : “avant, je voulais faire de la croissance à tout prix, maintenant, tu sais quoi Antoine, je veux faire de la croissance à bon prix.”

Cette nouvelle approche signifie être capable de croître, mais de manière sereine, pour bâtir une organisation pérenne sur 5, 10 ou 15 ans. La discussion avec les clients a donc évolué : on parle de revenus, mais surtout de profit. Une entreprise qui ne peut pas dégager de bénéfice net pour ses actionnaires n’est pas une entreprise soutenable sur le long terme.

Le media buyer de demain doit parler le langage de la finance

Cette évolution a un impact direct sur le rôle du media buyer. Il ne s’agit plus seulement de choisir une audience dans le Ads Manager ou de lancer une publicité. Il faut avoir une vision stratégique beaucoup plus large, qui inclut la structure financière de l’entreprise.

Le dialogue de sourd entre marketing et finance

Un problème classique dans les entreprises est le manque de communication entre les équipes financières et marketing. L’équipe finance fixe un budget annuel, tandis que l’équipe marketing argumente que le budget devrait être flexible : plus élevé si les résultats sont bons, plus bas dans le cas contraire. Comme le souligne Antoine Gagnier, “à cause que l’équipe finance ne parle pas le langage marketing et à cause que l’équipe marketing ne parle pas le langage de finance, il y a un dialogue de sourd qui s’installe.” Et c’est l’entreprise qui en souffre.

Pour s’asseoir à la table des décisions, le media buyer doit être capable de parler le même langage que l’équipe de finance. C’est en devenant ce qu’on appelle un “trusted advisor” (conseiller de confiance) qu’il peut réellement aider son client.

Le constat brutal : les clients ne connaissent pas toujours leurs chiffres

“Plus souvent qu’autrement, nos clients ne connaissent pas autant leurs chiffres qu’on aimerait qu’ils les connaissent,” avoue Antoine Gagnier. C’est un constat qui peut paraître dur, mais qui est fondamental. Des clients viennent pour la croissance, réalisent plus de revenus, mais finissent par dire : “je fais plus de revenus qu’avant, mais je ne fais pas d’argent, je fais que perdre de l’argent.” Le blâme est alors souvent reporté sur l’agence. Pour contrer cela, il faut aller plus loin et aider le client à mieux comprendre sa propre structure financière.

Le Business Case : la fondation de votre succès sur Facebook Ads

Avant même de parler de stratégie ou de media buying, il faut définir ce que l’on appelle le business case. C’est le socle de toute la pyramide stratégique. En résumé, le business case, c’est très simple : “Comment une entreprise va générer de l’argent et à quelle vitesse elle veut le faire ?” Si vous êtes capable de résumer cela en trois phrases, alors vous commencez à parler le langage des grands.

Étude de cas : comment passer de 1 000 € de perte à 76 000 € de bénéfice net

Prenons un cas client concret et récent. Une entreprise avec une belle croissance et des budgets importants.

Le diagnostic : 300 000 $ de revenus, mais de l’argent perdu

Voici les chiffres initiaux pour un mois :

  • Investissement publicitaire : 70 000 $
  • Revenus générés : 300 000 $
  • Coût d’acquisition (CPA) : 46 $

À première vue, tout semble parfait. Le CPA de 46 $ est jugé rentable par le client, son panier moyen étant deux à trois fois plus élevé et sa marge brute intéressante. L’entreprise est supposée bien se porter. Pourtant, le bilan financier à la fin du mois est sans appel : l’entreprise a perdu 1 000 $. Quand on génère 300 000 $ de revenus et qu’on perd de l’argent, cela donne mal à la tête.

La découverte cruciale : l’impact des 92 000 $ de coûts fixes

En analysant la situation en profondeur, un chiffre crucial que le client n’avait pas mentionné a émergé : l’entreprise commence chaque mois avec 92 000 $ de coûts fixes. Un coût fixe, c’est une dépense que vous devez payer chaque mois, quoi qu’il arrive (salaires, loyer d’entrepôt, etc.).

Ce chiffre change toute la donne. L’entreprise a une marge brute d’environ 60 %. Un calcul simple montre que pour couvrir ses 92 500 $ de coûts fixes, elle doit générer entre 150 000 et 160 000 $ de revenus… avant même d’avoir investi un seul dollar en publicité. C’est le seuil de rentabilité. Le client, en voyant cela, a réalisé : “ah ben je l’avais pas vu comme ça.”

Le ratio d’exercice, votre levier de rentabilité caché

Pour résoudre ce problème, il a fallu introduire un concept clé : le ratio d’exercice. Ce ratio compare les revenus générés par les nouveaux clients à ceux générés par les clients existants. Dans le cas présent, le ratio était de 1 sur 1 : sur les 300 000 $ de revenus, 150 000 $ provenaient de nouveaux clients et 150 000 $ de clients existants.

Pour qu’une entreprise e-commerce atteigne l’hypercroissance, ce ratio doit changer. Pourquoi ? Parce que les revenus des clients existants proviennent du marketing de rétention (emails, SMS), qui coûte beaucoup moins cher que la publicité. “Tous ces revenus de clients existants qui se mettent en place, c’est souvent la mine d’or, le trésor de toute entreprise e-commerce et souvent les gens ne s’en rendent pas compte,” explique Antoine Gagnier.

L’objectif est d’avoir un ratio d’exercice en dessous de 1. Idéalement, il faut viser un ratio autour de 0.3, ce qui signifie que pour chaque dollar de revenu de nouveaux clients, vous en générez au moins trois de clients existants. C’est là que l’environnement devient excessivement intéressant.

La nouvelle stratégie : plus de budget, un CPA plus élevé, et pourtant plus de profit

La proposition faite au client pour le mois suivant était de viser un ratio d’exercice de 30-40 %. Cela signifie que sur un objectif de 350 000 $ de revenus, seulement 130 000 à 140 000 $ devaient provenir de nouveaux clients. Le reste devait être généré par les clients existants. L’objectif d’acquisition de nouveaux clients via la publicité devenait donc plus bas.

Cela a créé une marge de manœuvre incroyable. Dans ce nouveau scénario, il était possible de dire au client : “le mois dernier, votre CPA était de 46 $. Ce mois-ci, on peut se permettre un coût d’acquisition qui va varier entre 65 et 70 $, et vous allez quand même faire de l’argent.” Le client était stupéfait. Comment est-ce possible de payer plus cher pour un client et de faire plus de profit ? Simplement parce que la dynamique globale de l’entreprise a été changée.

Pour y parvenir, la stratégie d’e-mailing et le calendrier promotionnel ont été entièrement revus pour stimuler les achats des clients existants.

Les résultats : 429 000 $ de revenus et un bénéfice net de 76 000 $

Le mois suivant, les résultats ont dépassé toutes les attentes :

  • Investissement publicitaire : 80 000 $ (10 000 $ de plus)
  • Revenus générés : 429 000 $
  • Bénéfice net : 76 000 $

Le plus ironique ? Le CPA a été encore meilleur que prévu, autour de 40 $. Mais l’important est que l’entreprise aurait pu supporter un CPA bien plus élevé tout en restant profitable. Ce ne sont pas les compétences en media buying, en création ou en tunnel de vente qui ont fait la différence. C’est la construction d’un scénario financier qui était inexistant au départ.

Comment appliquer le concept de business case à une jeune entreprise ?

Ce concept n’est pas réservé aux grandes entreprises. Toute entreprise, à n’importe quel stade, doit définir son business case. La question fondamentale pour une jeune entreprise est : est-ce que mon acquisition se fait à profit ou à perte ?

  • Acquisition à profit : Elle se fait au détriment de la vitesse. Le budget sera limité par le CPA maximal que l’on peut se permettre pour rester profitable. La croissance sera plus lente.
  • Acquisition à perte : Elle permet une grande vitesse de croissance mais au détriment de la profitabilité immédiate. C’est souvent le modèle des entreprises qui lèvent des fonds, car elles ne veulent pas attendre 3 ans pour acquérir leurs clients, mais le faire en 3 mois.

Chaque modèle est viable, mais il doit être défini consciemment. Le business case consiste à comprendre ces paramètres et à prendre des décisions éclairées.

Conclusion : pour un succès durable sur Facebook Ads, devenez indispensable

Le monde du media buying change, mais une chose reste immuable : une entreprise aura toujours besoin de faire du profit. Il y a actuellement un manque sur le marché : l’incompréhension du jargon financier par une majorité de marketeurs. Si vous voulez être au bon endroit au bon moment dans les prochaines années, familiarisez-vous avec les coûts fixes, les coûts variables, la marge brute, la marge nette et le ratio d’exercice. Lisez des bilans financiers.

Plus vous comprendrez ces chiffres et pourrez les expliquer à vos clients ou à votre patron, plus vous deviendrez indispensable dans un monde en constante évolution. C’est ça, votre véritable rôle.

FAQ : Vos questions sur la rentabilité et le succès sur Facebook Ads

Pourquoi mes campagnes Facebook Ads ne sont-elles pas rentables malgré de bons revenus ?

La rentabilité ne dépend pas uniquement des revenus générés par la publicité. Si vos coûts fixes (salaires, loyers, etc.) sont élevés, vous devez atteindre un certain seuil de revenus juste pour les couvrir, avant même que la publicité ne génère du profit. Un bon ROAS ne garantit pas un bénéfice net si la structure de coûts de l’entreprise n’est pas prise en compte.

\ »Cette entreprise là fait à peu près 60 % de marge brute. Sur son produit qu’il vend. Donc si je fais 60 % de marge brute et je commence mon mois avec 92 500 dollars de coût fixe, tu sais qu’est-ce qui doit se passer ? Je dois générer au minimum entre 150 et 160 000 dollars de revenus sans avoir investi 1 dollar en pub pour juste être à l’équilibre.\ »

Comment puis-je augmenter mon budget publicitaire sur Facebook sans perdre en rentabilité ?

Pour augmenter votre budget sereinement, vous devez créer une marge de manœuvre financière. Une des meilleures façons est d’augmenter la part des revenus provenant de vos clients existants. Cela réduit votre dépendance à l’acquisition de nouveaux clients (qui est coûteuse) et vous permet de supporter un coût par acquisition (CPA) plus élevé, ce qui est souvent inévitable quand on augmente les budgets.

\ »Si le ratio d’exercice est changé et qu’on va générer 30 à 40 % de nos revenus avec des nouveaux clients, […] on peut se permettre ce mois-ci […] d’avoir un coût d’acquisition qui va varier entre 65 et 70. Et vous allez faire encore de l’argent.\ »

Qu’est-ce que le \ »ratio d’exercice\ » et comment impacte-t-il ma stratégie publicitaire ?

Le ratio d’exercice est le rapport entre les revenus de vos nouveaux clients et les revenus de vos clients existants. Un ratio élevé (proche de 1 ou plus) signifie que vous dépendez fortement de la publicité pour générer des ventes. Un ratio bas (inférieur à 1, idéalement vers 0.3) indique une forte rétention client, ce qui rend votre entreprise plus rentable et vous permet d’être plus agressif sur l’acquisition.

\ »Pour chaque dollar de revenus de nouveaux clients, j’en génère au moins trois de clients existants. Là, vous commencez à être dans un environnement excessivement intéressant.\ »

Quel est le rôle d’un media buyer aujourd’hui avec l’automatisation de Meta ?

Le rôle du media buyer a évolué d’un simple exécutant technique à un conseiller stratégique. Avec l’automatisation, son rôle n’est plus de micro-gérer les audiences, mais de comprendre le business dans sa globalité, de parler finance et d’aider à construire un ‘business case’ solide qui aligne les objectifs marketing avec les objectifs financiers de l’entreprise.

\ »Le rôle du média buyer a évolué, c’est-à-dire on n’est plus seulement en train de penser à l’audience qu’on veut choisir dans le Ads Manager ou la publicité, on doit avoir une vision plus stratégique de la chose. […] On doit penser à ta structure financière.\ »

Est-il possible de scaler sur Facebook Ads en acceptant un coût par acquisition (CPA) plus élevé ?

Oui, c’est non seulement possible mais souvent nécessaire. Le scaling implique d’atteindre des audiences moins qualifiées, ce qui augmente naturellement le CPA. La clé est de structurer votre entreprise pour qu’elle puisse absorber ce CPA plus élevé tout en restant profitable, notamment en maximisant la valeur à vie de vos clients (LTV) et les revenus de la rétention.

\ »Le client dit, de quoi tu me parles ? Ça va me coûter plus cher aller chercher un client, puis je vais faire plus d’argent que le mois passé. Exactement parce qu’on est en train de changer la dynamique de place.\ »

Comment les coûts fixes de mon entreprise influencent-ils mon budget marketing ?

Vos coûts fixes déterminent votre seuil de rentabilité, c’est-à-dire le montant de revenus que vous devez générer chaque mois juste pour ne pas perdre d’argent. Ce chiffre est crucial car il définit la contribution que votre marketing doit apporter pour que l’entreprise soit profitable. Sans cette connaissance, vous naviguez à l’aveugle et risquez de dépenser de l’argent pour générer des revenus qui ne suffisent pas à couvrir toutes vos charges.

\ »Je commence mon mois avec 92 000 dollars de coûts fixes. […] Ah ben là, ça change la donne.\ »

Une jeune entreprise doit-elle viser une acquisition de clients à profit ou à perte ?

Cela dépend de son ‘business case’ et de sa stratégie de croissance. Une acquisition à profit est plus sûre et durable mais plus lente. Une acquisition à perte permet une croissance très rapide mais nécessite des financements externes (investisseurs) et un plan clair pour devenir rentable à terme. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, mais la décision doit être consciente et stratégique.

\ »Une acquisition à profit ou à revenus va se faire au détriment de la vitesse. Une acquisition à perte va se faire avec de la vitesse mais au détriment de la profitabilité. Il faut comprendre, il y a toujours des échanges qu’on va faire là-dedans.\ »

Qu’est-ce qu’un \ »business case\ » dans le contexte de la publicité Facebook ?

Dans ce contexte, le ‘business case’ est un résumé simple et clair de la manière dont l’entreprise gagne de l’argent et de la vitesse à laquelle elle souhaite croître. Il intègre les objectifs financiers (profit, marge), les contraintes (coûts fixes, marge brute) et la stratégie d’acquisition (à profit ou à perte). C’est la fondation qui guide toutes les décisions publicitaires.

\ »On va le résumer de manière excessivement simple pour notre audience, le business case, c’est qu’est-ce qu’une entreprise a besoin de faire pour générer de l’argent et à quelle vitesse elle veut le faire.\ »

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