Logo de l'épisode 82. Augmenter ta visibilité et tes ventes de formations et d'accompagnements en ligne : mindset, coaching live du podcast Entrepreneure Née pour Impacter

82. Augmenter ta visibilité et tes ventes de formations et d’accompagnements en ligne : mindset, coaching live

Épisode diffusé le 21 août 2025 par Aurélie Gauthey

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Votre message est puissant, mais la peur de l’exposer vous paralyse ?

Vous sentez cet appel vibrant au fond de vous ? Cette certitude d’être venue sur Terre pour accomplir quelque chose de grand, pour diffuser un message qui peut changer des vies ? Vous savez que vous n’êtes pas là ‘pour faire du petit’. Pourtant, au moment de passer à l’action, quelque chose coince. Une force invisible semble vous retenir, vous épuiser. Vous vous retrouvez à analyser l’énergie des plateformes, à craindre les algorithmes, à vous sentir vidée par une audience qui ‘consomme’ sans jamais donner en retour. Cette frustration, cette sensation que l’on vous ‘prend’ votre énergie sans juste contrepartie, est un sentiment partagé par de nombreuses entrepreneures de cœur, surtout celles qui sont très connectées à l’énergétique. Vous avez peut-être, comme cette femme que j’accompagne en live, lancé une chaîne YouTube avec passion, pour finalement l’arrêter, fatiguée de vous ‘battre contre les algorithmes’ et le ‘shadow ban’.

Mais si ce combat n’était qu’un symptôme ? Si le véritable enjeu ne se situait pas à l’extérieur, dans la technologie ou le comportement des autres, mais bien à l’intérieur de vous ? C’est ce que nous allons explorer ensemble. Cet article est une plongée au cœur des mécanismes d’auto-sabotage qui freinent les leaders spirituelles. Nous allons déconstruire la peur d’être volée, le besoin de contrôle, et cette croyance insidieuse que le succès doit être mérité dans la douleur. Vous découvrirez pourquoi votre mission ne doit jamais devenir votre seule identité et comment le refus de choisir une ‘structure’ est souvent la dernière excuse avant le grand saut. Préparez-vous à être bousculée, car mon but n’est pas de vous conforter dans vos peurs, mais de vous donner les clés pour incarner la leader que vous êtes déjà, celle qui agit hors norme, avec foi et courage, sans plus jamais laisser ses anciennes blessures dicter sa trajectoire.

Redéfinir votre rapport aux algorithmes : la posture de leader avant la technique

La première plainte que j’entends souvent concerne les réseaux sociaux. ‘L’énergie de cette plateforme ne me convient pas’, ‘Je me bats contre les algorithmes’, ‘Les gens ne font que consommer mon contenu’. C’est une perception qui, bien que réelle dans le ressenti, vous place dans une posture de victime. Vous subissez la plateforme, vous subissez l’audience. Or, une leader ne subit pas, elle crée. Le changement fondamental ne réside pas dans le choix de la plateforme, mais dans la vibration que vous émettez lorsque vous l’utilisez.

Au-delà de la ‘vibration’ des réseaux : votre fréquence est la seule qui compte

Lorsque vous me dites que ‘la vibration de YouTube ne vous convient pas’, je vous réponds que ce n’est pas l’énergie de la plateforme le problème, mais la vôtre dans cet espace. Vous vous concentrez sur les mauvaises questions. Vous pensez en termes de contraintes, de règles à suivre, de ‘comment faire pour être vue’. C’est ce que j’appelle rester dans ‘le petit’.

‘À partir du moment où je suis là pour transmettre mon message au monde, je ne m’occupe pas des algorithmes. Les algorithmes quand je suis une leader qui veut agir hors norme n’ont pas de place parce que quand tu transmets les bons messages aux bonnes personnes, tu vises les bonnes personnes.’

Cette phrase est le cœur du changement de paradigme. Cessez de vous adresser à un algorithme. Adressez-vous à un humain. L’algorithme n’est qu’un facteur, pas le directeur de votre stratégie. Quand votre message est clair, puissant et qu’il émane d’une intention pure, il trouvera son chemin. Penser qu’il faut publier X fois par jour d’une certaine manière est une stratégie de débutante. C’est utile pour construire une base, mais une leader s’en détache. Aujourd’hui, je publie quand l’énergie est là, quand un message puissant sur la foi ou le courage veut sortir. Et l’impact est décuplé, non pas parce que j’ai coché les cases de l’algorithme, mais parce que l’énergie transmise est authentique et sans filtre. Votre focus ne doit pas être sur ‘comment plaire à l’algorithme’, mais sur ‘comment servir au mieux la personne qui a besoin de m’entendre aujourd’hui’. C’est un changement subtil mais radical qui transforme la corvée en mission.

L’illusion de l’énergie ‘prise’ et ‘utilisée’ : reprendre sa souveraineté

La sensation que votre énergie est ‘prise et utilisée’ par les plateformes pour nourrir ‘des espaces qui ne sont pas de la lumière’ est une croyance profondément limitante. Elle est souvent le reflet d’une histoire personnelle, de vies passées où l’on vous a effectivement pris sans votre consentement. Mais s’accrocher à cette histoire, c’est lui donner le pouvoir de se répéter indéfiniment. Tout ce à quoi nous apportons du temps, de la parole et de l’énergie continue d’exister.

‘Moi quand je vais transmettre sur une scène, sur un podcast, je ne réfléchis pas de la façon de comment on va utiliser mon énergie ou ma lumière. Moi je suis juste là pour briller. Et après je ne suis pas dans une posture, tu vois de qui va utiliser comment, qu’est-ce qu’ils vont en faire, c’est pas le bon espace.’

Votre seule responsabilité est de briller. Point. Ce que les autres font de votre lumière ne vous appartient pas. Essayer de contrôler la réception de votre message est une perte d’énergie colossale. C’est une posture de contrôle, pas de confiance. La véritable question n’est pas ‘Comment mon énergie sera-t-elle utilisée ?’, mais ‘Où est-ce que je me sens en joie de transmettre ?’. Trouvez votre canal, celui qui vous allume, et donnez sans attente. Que ce soit sur Instagram, YouTube ou un podcast, votre vibration doit rester la même : une transmission pure. Le reste n’est pas de votre ressort. En vous détachant du résultat et de l’utilisation de votre message, vous libérez une puissance créatrice immense et vous sortez de la peur de ‘donner trop’.

Nous venons de voir que le problème n’est pas l’outil, mais la manière dont on l’utilise et l’intention qu’on y met. En changeant votre posture face aux plateformes, vous reprenez déjà une part de votre pouvoir. Mais souvent, cette peur des algorithmes et de l’énergie ‘volée’ cache une crainte encore plus profonde, une blessure qui touche à votre valeur et à votre identité. C’est ce que nous allons explorer maintenant.

La peur d’être volée : décoder le message caché derrière le besoin de contrôle

Cette sensation que l’on vous ‘prend’ des choses, que l’on vous vole votre énergie, vos idées, votre contenu, est rarement anodine. C’est un fil d’Ariane qui nous mène souvent à des blessures bien plus anciennes et profondes. Quand une entrepreneure me dit cela, je n’entends pas une simple plainte sur la concurrence ou le plagiat. J’entends une peur existentielle qui touche à deux piliers fondamentaux : le mérite et l’identité.

‘On me prend’ : quand la peur de donner cache une blessure de mérite

Le mot qui est apparu lors de ce coaching est ‘contrôle’. Le besoin de contrôler ce que les gens font de votre contenu est directement lié à une peur qu’on vous ‘vole’. Mais qu’on vous vole quoi, exactement ? Pas seulement des concepts ou des stratégies. Ce que vous craignez, c’est qu’on vous vole le fruit de votre labeur, de votre souffrance, de votre chemin. Il y a en vous une croyance très forte que les choses doivent se mériter.

‘Moi j’ai galéré pour en être là. Moi j’ai souffert pour avoir ces messages et cette personne là juste se connecte sur YouTube, entend mes transmissions puis là, elle prend ça, elle balaye d’un revers de la main, elle en fera rien. […] Pire, celle qui n’aura pas bougé son cul qui va venir prendre ma transmission et en faire quelque chose. Mais elle a pas mérité de réussir si facilement.’

Cette pensée, bien que légitime dans son ressenti, est un poison. Elle vous place dans un rôle de gardienne d’un trésor, alors que vous êtes un canal de transmission. Vous devenez juge de qui ‘mérite’ ou non de recevoir votre sagesse. Cette posture crée une contraction immense. Vous êtes en attente de résultats, vous attendez que les gens utilisent votre contenu ‘à bon escient’. Mais on ne vous a pas demandé de venir en attente de résultats. On vous a demandé de venir transmettre un message pour éveiller des consciences. En vous accrochant à cette notion de mérite, vous freinez le flux naturel du donner et du recevoir, et vous vous épuisez à vouloir contrôler l’incontrôlable.

Votre mission n’est pas votre identité (et c’est une excellente nouvelle)

La question qui a tout fait basculer dans cet échange a été d’une simplicité désarmante : ‘Tu es qui en dehors de ton business ? En dehors de cette mission, qui es-tu ?’. La réponse, murmurée à travers une émotion palpable, a été une révélation : ‘J’existe pas presque en dehors de ça’. Voilà la racine du problème. Si vous n’existez qu’à travers votre mission, alors chaque parcelle de votre message que vous diffusez est un morceau de votre identité que vous mettez en jeu.

‘Est-ce que tu comprends que dans cet espace, tu ne peux pas aller transmettre ton message avec la vraie liberté parce que tu penses qu’on va te voler. On va te voler quoi ? On va te voler ton identité.’

Lorsque votre être tout entier est fusionné avec votre activité, la peur de donner devient une peur de disparaître. Vous avez besoin que les gens valident votre contenu, qu’ils l’utilisent bien, car leur validation valide votre existence même. C’est un poids beaucoup trop lourd à porter. La libération vient de la dissociation. Vous n’êtes pas votre mission. Vous êtes un être complet, complexe et aimable bien au-delà de ce que vous faites professionnellement. Votre mission est un véhicule d’expression, un canal, mais ce n’est pas la totalité de qui vous êtes. Comprendre et intégrer cela est la clé pour pouvoir enfin transmettre librement, sans peur, en sachant que rien de ce que vous donnez ne peut vous diminuer, car votre valeur intrinsèque est inaltérable et ne dépend pas de votre business.

Identifier ces peurs profondes liées au mérite et à l’identité est une étape cruciale. C’est mettre de la conscience sur des mécanismes inconscients. Mais la conscience seule ne suffit pas. Comment passer concrètement de cette reconnaissance à une transformation durable ? Comment s’assurer de ne pas retomber dans ces vieux schémas ? Il existe une approche radicale pour cesser d’entretenir ses propres blessures et enfin incarner pleinement sa puissance.

‘Manger son caca’ : la stratégie radicale pour lâcher le passé et incarner votre nouvelle identité

Après des années de thérapie, de coaching, de chamanisme, on peut avoir l’impression d’avoir ‘travaillé’ sur toutes ses blessures. Et pourtant, au moindre déclencheur, les mêmes peurs, les mêmes schémas refont surface. La peur d’être volée, le besoin de prouver sa valeur, la difficulté à recevoir… Pourquoi ces vieux démons sont-ils si tenaces ? La réponse est souvent inconfortable : nous continuons, inconsciemment, à les nourrir.

La différence entre travailler sur ses blessures et les entretenir activement

J’ai fait un apprentissage en 2024 qui a changé ma vie, et que je résume par une formule volontairement provocatrice : ‘manger son caca’. Cela illustre la différence fondamentale entre guérir une blessure et continuer à s’y complaire. On peut payer les meilleurs thérapeutes du monde, mais si, entre les séances, on continue de se raconter la même histoire, de répondre aux situations avec les mêmes réflexes émotionnels, on ne fait que remuer le passé sans jamais le transcender.

‘Il y a une différence entre penser qu’on travaille véritablement sur nos blessures pour les éliminer et s’expanser et continuer à les entretenir. […] Ça s’appelle aller manger son caca.’

Concrètement, cela signifie prendre une décision radicale. Au moment où vous vous surprenez à penser ou à dire : ‘Je ne vais pas sur YouTube parce que mon énergie est volée et que les gens ne méritent pas’, vous devez vous arrêter net. C’est votre ancien schéma qui parle. C’est l’identité passée, celle qui a été blessée, qui prend les commandes. ‘Manger son caca’, c’est refuser de donner de l’attention à cette voix. C’est se dire : ‘Non. Ça n’existe plus. Cette pensée appartient au passé. Aujourd’hui, j’agis depuis ma nouvelle identité de leader, et cette identité ne connaît pas cette peur’. C’est un acte de volonté conscient et répété, qui consiste à ne plus donner de crédit aux raisonnements qui vous tirent vers le bas.

Agir depuis l’expansion, pas la contraction : le test ultime

Votre corps et votre énergie sont des boussoles infaillibles. Apprenez à reconnaître la différence entre un état de contraction et un état d’expansion. La contraction, c’est quand vous vous posez des questions petites, limitantes : ‘Est-ce que les gens vont aimer ?’, ‘Est-ce qu’on va me copier ?’, ‘Pourquoi personne ne commente ?’. Ces pensées créent une tension physique, une lourdeur dans les épaules, un nœud dans le ventre. Votre âme ne comprend pas ces raisonnements étriqués.

‘L’expansion c’est j’allume la caméra aujourd’hui à 13h, j’avais la conviction que j’aurais les bonnes personnes en face de moi et j’étais toi. C’est tout.’

L’expansion, c’est poser des questions qui élèvent : ‘Ma vidéo est tellement puissante, comment puis-je la transmettre au monde entier ?’, ‘Qui a besoin d’entendre ce message aujourd’hui ?’, ‘La leader que je veux devenir dans 5 ans, comment agirait-elle maintenant ?’. Dès que vous posez ces questions, votre énergie remonte, des solutions apparaissent, l’action devient fluide. C’est votre véritable rôle. Passer de la petite fille qui s’énerve que personne ne réagit à la leader qui sait que son message est reçu par les bonnes personnes, même silencieusement, et qui cherche constamment à amplifier son impact. C’est ça, le véritable leadership spirituel. C’est un choix de chaque instant de nourrir l’expansion plutôt que la contraction.

En adoptant cette discipline mentale et énergétique, vous déblayez le terrain intérieur. Vous êtes prête à briller, à transmettre. Mais il reste souvent un dernier bastion de résistance, une ultime forme d’auto-sabotage, aussi subtile que redoutable : le piège de la structure parfaite. C’est l’ultime excuse qui se dresse entre votre mission et sa matérialisation dans le monde.

Le piège de la structure parfaite : l’excuse ultime pour ne pas passer à l’action

Le travail intérieur est fait. La posture est ajustée. L’envie de transmettre est plus forte que jamais. Vous avez même une offre, un accompagnement qui ‘tambourine’ pour être lancé. Mais au moment de le concrétiser, une nouvelle série de questions paralysantes surgit : ‘Où est-ce que je le mets ?’, ‘Quelle plateforme choisir ?’, ‘Comment le diffuser ?’. Le ‘comment’ devient un mur infranchissable, un prétexte parfait pour rester dans l’inaction.

‘Je ne trouve pas la bonne plateforme’ : décryptage d’un auto-sabotage classique

Cette quête de la structure idéale est un des visages les plus courants de la peur. Vous avez peut-être essayé différentes plateformes, Patreon, Systeme.io, Kajabi, et à chaque fois, quelque chose cloche : ‘C’est trop ceci, pas assez cela’, ‘C’est contraignant’, ‘Mon énergie ne s’y sent pas bien’. Cette frilosité face à la structure, ce besoin que tout soit parfait avant de vous lancer, n’est pas un problème technique. C’est une excuse. Une excuse magnifiquement orchestrée par votre inconscient pour vous protéger de l’étape suivante : être pleinement visible, et donc, potentiellement, ‘volée’.

‘À force que tu te dises ‘oui mais j’ai pas la bonne plateforme pour mettre mes formations’, c’est comme si tu n’emballais jamais le cadeau et que tu ne me ferais jamais le cadeau parce que tu estimais que le papier cadeau, je suis pas sûr que ce soit le bon.’

Cette analogie est puissante. Vous êtes tellement obsédée par l’emballage que le cadeau lui-même reste caché. Le ‘comment’ est une question petite, une distraction. Le véritable enjeu, c’est votre message. Que votre offre soit sur un document PDF envoyé par mail, sur une plateforme sophistiquée ou sur Patreon, l’important est qu’elle existe. En restant dans ce flou artistique, vous devenez un ‘électron libre’ qui a du mal à créer dans la matière. Et plus vous attendez, plus la peur grandit, renforçant le cycle de l’auto-sabotage.

Votre offre doit exister dans la matière pour être vendue : le principe de réalité

C’est le point final, la vérité incontournable. Vous pouvez avoir le message le plus puissant du monde et l’état d’esprit le plus aligné, mais si votre audience potentielle n’a rien de concret à acheter, il ne se passera rien. Il y a des gens qui vous suivent, qui vous regardent, qui attendent. J’ai eu la confirmation que des personnes vous demandent déjà : ‘Je suis trop intéressée de savoir ce que tu vas faire’. Ils sont prêts. Mais vous ne leur proposez rien.

‘Comment veux-tu qu’on achète quelque chose qui n’existe pas ? […] Il y a rien dans la matière. Donc ça ne peut pas matcher.’

L’inconvénient de ne pas être dans une structure, quelle qu’elle soit, est simple : vous êtes invisible. Votre programme n’existe pas. Vous n’accompagnez pas les clients que vous désirez. La solution est de prendre une décision. Aujourd’hui. Choisissez une structure. N’importe laquelle. La moins pire si nécessaire. Et lancez-vous. Acceptez d’expérimenter. Si ce n’est pas la bonne, vous changerez plus tard. Mais en posant cet acte de matérialisation, vous brisez le sort de l’auto-sabotage. Vous déclarez à l’univers et à vous-même que vous êtes prête. Vous passez de la petite fille qui a peur des contraintes à la femme leader qui utilise les systèmes à son service pour accomplir sa mission.

Conclusion : De la peur de donner à la joie de transmettre

Le parcours que nous venons de faire est celui de nombreuses entrepreneures de cœur : un chemin qui part d’une mission grandiose et qui se heurte aux murs invisibles de nos propres peurs. Nous avons vu que la crainte des algorithmes n’est souvent que le symptôme d’une posture intérieure qui a besoin d’être ajustée. Que la peur d’être ‘volée’ puise ses racines dans des blessures profondes de mérite et une fusion dangereuse entre notre identité et notre travail. Nous avons découvert une méthode radicale, ‘manger son caca’, pour cesser d’alimenter nos vieux schémas et choisir consciemment d’agir depuis un espace d’expansion et de puissance. Enfin, nous avons démasqué le piège de la structure parfaite, cette ultime excuse qui nous empêche de matérialiser notre impact.

Le message final est un appel à l’action et à la responsabilité. Cessez d’attendre. Cessez de chercher la perfection. Votre message est nécessaire maintenant. Votre rôle n’est pas de contrôler la manière dont il est reçu, mais de le transmettre avec le plus de foi, de courage et d’authenticité possible. Choisissez une structure, même imparfaite. Matérialisez votre offre. Donnez aux personnes qui vous attendent silencieusement une occasion de vous rejoindre. Chaque jour où vous restez dans la contraction, dans la peur et l’indécision, est un jour où votre lumière brille moins fort. Osez agir à partir d’un espace plus grand. Osez incarner la leader que vous êtes déjà, celle qui n’a plus peur de prendre sa place et de recevoir l’abondance qui découle naturellement de sa contribution au monde.

FAQ : Vos questions sur la visibilité, l’auto-sabotage et le leadership spirituel

Comment puis-je arrêter de me sentir vidée par les réseaux sociaux ?

La sensation d’être vidée vient souvent d’une posture de ‘don’ sans conscience de sa propre énergie et avec une attente de retour. Pour changer cela, déplacez votre intention. Ne publiez pas pour ‘recevoir’ des likes ou des clients, mais pour ‘transmettre’ un message qui doit être entendu. Votre mission est de briller, pas de contrôler ce que les autres font de votre lumière. Concentrez-vous sur la joie de la transmission elle-même et détachez-vous du résultat. En agissant ainsi, vous n’êtes plus dans l’attente et vous préservez votre énergie, car votre action est alignée sur votre mission et non sur une validation extérieure.

‘Moi je suis juste là pour briller. Et après je ne suis pas dans une posture, tu vois de qui va utiliser comment, qu’est-ce qu’ils vont en faire, c’est pas le bon espace.’

Que faire si j’ai vraiment peur d’être copiée ou que l’on me vole mes idées ?

Cette peur est souvent liée à deux choses : une croyance que votre valeur réside uniquement dans vos idées (et non dans votre incarnation unique) et une blessure de mérite. La première étape est de dissocier votre identité de votre mission. Vous êtes bien plus que vos concepts. Personne ne peut voler votre énergie, votre histoire, votre façon unique de transmettre. Ensuite, travaillez sur la croyance que les autres ne ‘méritent’ pas de recevoir votre savoir facilement. Votre rôle est d’être un canal, pas un juge. Plus vous donnerez librement, plus vous réaliserez que votre source est inépuisable et que personne ne peut voler qui vous êtes.

‘Tu ne peux pas aller transmettre ton message avec la vraie liberté parce que tu penses qu’on va te voler. On va te voler quoi ? On va te voler ton identité.’

Pourquoi est-ce que je n’arrive pas à avoir de résultats malgré un gros investissement en temps et en énergie ?

L’agitation n’est pas l’action juste. Vous pouvez passer deux ans à faire des lives sur YouTube toutes les semaines sans résultats si les fondations ne sont pas bonnes. Souvent, cela signifie que vous répétez les mêmes actions en espérant des résultats différents. Il manque peut-être des éléments clés : une offre claire, un message bien défini, une stratégie pour que les bonnes personnes vous trouvent. L’autre raison, plus profonde, est l’absence d’une offre concrète. Si vous donnez beaucoup de contenu mais que rien n’est à vendre, vous créez de la frustration et vous n’activez pas l’échange d’énergie (qui inclut l’argent).

‘Comment veux-tu qu’on achète quelque chose qui n’existe pas ? Il y a rien dans la matière. Donc ça ne peut pas matcher.’

En quoi le fait de lier mon identité à mon business est-il un frein majeur ?

Lorsque votre sentiment d’exister dépend entièrement de votre mission, chaque action entrepreneuriale devient une question de vie ou de mort pour votre ego. Vous avez besoin que votre contenu soit validé pour vous sentir exister. Vous avez peur de donner votre savoir car c’est comme donner un morceau de vous-même, avec le risque qu’il soit rejeté ou ‘volé’. Cette fusion vous empêche de transmettre librement et avec détachement. En cultivant une identité riche et complète en dehors de votre business, vous pouvez aborder votre mission avec plus de légèreté, de puissance et de liberté, car un échec ou une critique ne remettra jamais en cause votre valeur intrinsèque.

‘Bah ouais clairement, je m’autorise pas à à à exister en dehors de ma mission. Je suis invisible, je suis personne.’

C’est quoi concrètement, ‘manger son caca’ pour arrêter l’auto-sabotage ?

C’est une métaphore pour décrire l’acte conscient de ne plus entretenir ses anciennes blessures et ses schémas limitants. Au lieu de vous repasser en boucle l’histoire de ‘pourquoi vous avez peur’ ou ‘pourquoi c’est difficile pour vous’, vous prenez la décision radicale de ne plus donner d’énergie à cette histoire. Quand une pensée ou une peur liée à un ancien schéma émerge, vous la reconnaissez et vous déclarez : ‘Ça n’existe plus. Ce n’est pas la vérité de ma nouvelle identité’. C’est un entraînement mental qui consiste à cesser de se nourrir de son propre passé pour agir, ici et maintenant, depuis la personne que l’on choisit de devenir.

‘Il y a une différence entre penser qu’on travaille véritablement sur nos blessures pour les éliminer et s’expanser et continuer à les entretenir.’

Comment choisir la bonne structure ou plateforme pour vendre mes offres si j’ai peur de la contrainte ?

Le choix de la plateforme est souvent une fausse question qui cache la peur de se lancer. La ‘structure parfaite’ n’existe pas. L’important est de choisir une structure ‘suffisamment bonne’ pour commencer. Le véritable problème n’est pas la contrainte du système, mais la résistance intérieure à matérialiser votre offre. Changez votre perspective : voyez la structure non comme une prison, mais comme un contenant qui va permettre à votre énergie et à votre message de prendre forme et d’être transmis. Choisissez-en une demain, n’importe laquelle, et agissez. L’expérimentation vous apportera plus de clarté que des mois de réflexion paralysante.

‘C’est la contrainte du système en fait. C’est vraiment ça. Et ben à force de n’être dans aucun système, on appelle ça un électron libre qui est dans son flot et les électrons libres en général ben ils ont du mal à créer dans la matière.’

Le manque de likes et de commentaires signifie-t-il que mon contenu n’intéresse personne ?

Absolument pas. C’est une des plus grandes illusions des réseaux sociaux. Une écrasante majorité de votre audience, et souvent vos futurs meilleurs clients, sont des observateurs silencieux. Ils vous regardent, absorbent votre message, évaluent votre posture et votre cohérence. Ils n’interagissent pas, mais ils sont bien présents. J’estime que 80% de ma clientèle ne commente ni ne like jamais mes contenus avant d’acheter. Cessez de mesurer votre impact à l’aune de ces métriques de vanité et faites confiance. Concentrez-vous sur la qualité de votre transmission, car les bonnes personnes écoutent, même en silence.

’80 % de ma clientèle ne commentent pas mes contenus, ne like pas mes contenus, ne participent pas au quart de mes contenus. Ils m’ont vu une fois, deux fois, trois fois agir, ils m’ont vu coacher, ils sont dit c’est elle que je veux, ils achètent.’


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