J’ai craqué le code : Le déclic qui transforme votre leadership et débloque l’abondance
Il y a des jours où tout bascule. Pas à cause d’un événement extérieur grandiose, mais à cause d’un changement sismique à l’intérieur de soi. C’est exactement ce que je viens de vivre. J’étais en train de travailler, et soudain, j’ai ressenti une force irrésistible me pousser de l’intérieur. Ce n’était pas juste une idée, mais une certitude physique, une confiance et une sécurité ancrées si profondément que j’ai su, à cet instant, que plus rien ne serait comme avant. C’est ce que j’appelle craquer ‘le code de la manifestation, de l’abondance, de la sécurité intérieure’. C’est ce sentiment qui vous permet de vous affirmer pleinement dans votre posture, d’attirer l’énergie, la vie et les relations que vous désirez ardemment. J’ai l’impression d’avoir déverrouillé quelque chose de fondamental dans toute ma structure, et grâce à cela, je vis une libération et une hypercroissance absolument dingues.
Cette prise de conscience est la réponse à la question que l’on me pose un milliard de fois : ‘Aurélie, comment tu fais pour avoir cette énergie ? Cette confiance ? Cette solidité dans tes décisions ?’. Je pensais le savoir, je le comprenais intellectuellement, mais aujourd’hui, je l’incarne. La différence est abyssale. Avant, j’étais persuadée d’être confiante, mais c’était une solidité tournée vers l’extérieur. Aujourd’hui, je ressens une sécurité qui émane de l’intérieur. C’est un changement de paradigme qui va transformer votre vie, votre bonheur, votre joie, et bien sûr, votre abondance financière et relationnelle. Ce n’est pas une simple astuce, c’est une révolution intérieure. Si vous avez déjà eu l’impression de jouer un rôle, de vous suradapter ou de laisser les autres définir votre valeur, alors ce qui suit va profondément résonner en vous. Nous allons explorer ensemble comment cesser de négocier avec vous-même pour enfin prendre votre pleine place de leader et de créatrice de votre réalité.
Le piège de la ‘gentille’ leader : Pourquoi la peur de déplaire sabote votre entreprise
L’un des plus grands freins à l’épanouissement d’une cheffe d’entreprise, c’est cette croyance insidieuse qu’il faut être aimée de tous pour réussir. Cette peur d’être ‘la méchante’, la patronne trop stricte, est un poison qui paralyse nos décisions et freine notre croissance. Pendant longtemps, j’ai été prise dans ce piège. Mon hypercroissance m’a dépassée. Je me voyais comme une ‘mentor business qui transforme les business des entrepreneurs vers la liberté’, mais la réalité m’a rattrapée : je suis devenue une chef d’entreprise gérant une société qui génère des millions. Et honnêtement, ce n’était pas ce que j’avais prévu. J’ai réalisé, après beaucoup d’introspection, que je n’aimais pas cette facette du job. Comme je le disais : ‘J’aime pas manager, j’aime pas donner des ordres, je veux pas être la méchante’. Cette résistance venait d’une peur profonde, celle de ne pas être aimée, celle de l’abandon. Cette fameuse blessure, peut-être liée à mon histoire personnelle, me poussait à faire des compromis toxiques.
De la mentor à la chef d’entreprise malgré moi
Cette transition non désirée consciemment m’a amenée à adopter des comportements contre-productifs. Par peur que les membres de mon équipe me quittent, je laissais passer des choses que je n’aurais jamais dû tolérer. Je négociais avec moi-même. Même quand je sentais qu’une collaboration me drainait, que l’attitude d’une personne n’était pas alignée, je fermais les yeux. Pourquoi ? Parce que l’idée de devoir recommencer un recrutement, de gérer un départ, de blesser quelqu’un, me paraissait plus douloureuse que de subir une situation qui me coûtait mon énergie et ma paix intérieure. Je me faisais croire que j’étais confortable, mais c’était un mensonge. Cette peur du rejet, cette blessure d’abandon, est un moteur puissant mais destructeur pour beaucoup d’entrepreneurs. Elle nous pousse à construire de grandes choses, mais elle nous maintient aussi dans des schémas où nous nous sacrifions pour maintenir une harmonie de façade. Le problème, c’est que l’univers de l’hypercroissance ne pardonne pas ce manque de clarté. Pour bâtir un empire, il faut des fondations solides, et ces fondations, c’est vous, votre sécurité intérieure et votre capacité à tenir un cadre, même si cela déplaît.
Les signaux d’alarme que votre corps vous envoie
Quand l’esprit refuse de voir la vérité, le corps, lui, ne ment jamais. Il devient le messager de nos frustrations et de nos limites bafouées. J’ai ignoré les signaux pendant trop longtemps, jusqu’à ce qu’ils deviennent assourdissants. J’ai vécu plusieurs manifestations physiques qui étaient des alertes directes. Un jour, en parlant d’une personne de mon équipe, je me suis surprise à me gratter le haut du pied jusqu’au sang, sans même m’en rendre compte. C’était une réaction purement inconsciente à un stress que je refusais d’admettre. Puis, j’ai eu une douleur inexplicable au pouce qui est apparue du jour au lendemain. Ces ‘maux physiques’ étaient la somatisation de mon malaise. Mon corps me criait : ‘Stop ! Tu es en train de négocier avec toi-même !’. Ces symptômes sont une question que notre corps nous pose : ‘Qu’est-ce qui permet à des personnes d’avoir des attitudes avec toi ou des comportements que la plupart n’oseraient pas ?’. La réponse est simple et difficile à la fois : c’est nous qui le permettons. En ne posant pas de limites claires, en acceptant l’inacceptable par peur des conséquences, nous ouvrons la porte à des dynamiques irrespectueuses qui nous rongent de l’intérieur et se manifestent physiquement.
Ce que j’ai vécu n’est pas un cas isolé. Combien d’entrepreneures souffrent de migraines chroniques, de tensions dans le dos, de problèmes digestifs, sans jamais faire le lien avec ce collaborateur qui ne respecte pas les délais, ce client qui dépasse les bornes, ou ce membre de l’équipe qui ne prend pas ses responsabilités ? Votre corps est votre allié le plus précieux. Apprendre à écouter ses murmures avant qu’il n’ait besoin de crier est une compétence de leadership essentielle. Chaque douleur, chaque tension est une information. Elle vous indique un endroit où vous n’êtes plus alignée, où vous vous trahissez. Ignorer ces signaux, c’est comme ignorer le voyant d’huile de votre voiture : vous pouvez continuer à rouler un moment, mais la panne est inévitable, et elle sera bien plus coûteuse.
Redéfinir les règles du jeu : L’art de poser ses ‘non-négociables’
La transformation radicale s’opère au moment précis où l’on décide que ‘trop, c’est trop’. Ce moment charnière, pour moi, est arrivé lors d’une collaboration qui a été un véritable électrochoc. C’est cette expérience qui m’a forcée à passer de la frustration silencieuse à une action claire et déterminée, en définissant ce qui est négociable et ce qui ne l’est absolument plus. C’est un acte de souveraineté personnelle qui change toute la dynamique de vos relations professionnelles. Il ne s’agit pas de devenir rigide ou tyrannique, mais de se respecter suffisamment pour exiger le respect en retour. Ce processus commence par une décision intérieure, bien avant toute conversation extérieure. C’est le moment où vous vous dites à vous-même : ‘Ceci n’est plus acceptable dans ma vie et dans mon entreprise’. Cette décision interne crée une nouvelle énergie, une nouvelle solidité qui sera perçue par les autres avant même que vous n’ouvriez la bouche. C’est le fondement de la posture de leader : établir le cadre, puis le communiquer avec calme et fermeté.
L’électrochoc : l’exemple du collaborateur irrespectueux
Laissez-moi vous raconter l’histoire qui a tout changé. J’avais un rendez-vous calé depuis un mois avec un collaborateur, quelqu’un que je paye pour un service. L’objectif était simple : il devait nous présenter, à mon bras droit et à moi, un bilan de la stratégie mise en place. C’était son rôle, sa responsabilité. Nous nous sommes préparés de notre côté, nous étions prêts. Le jour J arrive, et dès les premières secondes, je sens que quelque chose cloche. Il nous annonce, sans aucune gêne : ‘D’ailleurs, j’ai pas eu le temps de le préparer, désolé’. Un mois pour préparer un rendez-vous qu’il a lui-même initié. Sur le coup, je suis restée bouche bée. Et là, le schéma habituel s’est enclenché : pour ne pas ‘gâcher la relation’, j’ai repris le lead. Mon bras droit et moi avons fini par faire le débriefing de son propre travail. Nous faisions le job de la personne que nous payions. Intérieurement, je bouillais.
‘Je sors du rendez-vous et je sens que ça me prend dans le ventre et là c’est plus OK. Et là, je me dis tu es en train de négocier. Qu’est-ce qui fait que cette personne s’est permis d’agir comme ça avec toi ?’
Cette question a été le catalyseur. La réponse était évidente : il s’est permis d’agir ainsi parce que je l’ai laissé faire. Parce que ma posture jusqu’alors signalait que c’était acceptable de ne pas être totalement professionnel avec moi. Ce jour-là, j’ai décidé que c’était terminé.
De la confrontation subie à la communication affirmée
Le lendemain, la décision était prise. Fini de subir. J’ai dit à mon bras droit : ‘C’est pas OK ce qui s’est passé et ça ça ne se reproduira pas’. Rien que de prononcer ces mots a ancré en moi une nouvelle force. J’ai alors pris mon téléphone, non pas pour accuser, mais pour poser un cadre. C’est là que réside toute la puissance de la posture de leader. J’ai appelé ce collaborateur et je lui ai dit, avec une transparence totale : ‘Écoute, je vais être totalement transparente, dans mes valeurs, c’est pas OK ce qui s’est passé’. Je lui ai expliqué de A à Z ce que j’avais ressenti, sans enrobage, sans chercher à minimiser mon propos pour le protéger. Et surtout, j’ai fait quelque chose de crucial : je lui ai rendu sa responsabilité. Je ne lui ai pas proposé de solution. Je lui ai exposé le problème et je lui ai laissé le soin de proposer une manière de le réparer. C’est un changement fondamental. Avant, j’aurais porté le poids de la situation, je me serais inquiétée de sa réaction. Aujourd’hui, je dis : ‘OK, il s’est passé ça. Qu’est-ce que tu vas faire ? Apporte-moi une solution’. Cette approche est libératrice. Elle vous sort du rôle de sauveuse pour vous placer dans votre juste rôle de CEO : celle qui fixe le cap et attend de son équipe qu’elle soit à la hauteur.
L’effet domino : Comment votre sécurité intérieure redessine votre réalité
Lorsque vous prenez cette décision irrévocable de ne plus négocier ce qui est essentiel pour vous, un effet domino spectaculaire se met en place. Ce n’est pas juste une collaboration qui change ; c’est tout votre univers qui se réaligne. En incarnant cette nouvelle posture, vous émettez une fréquence différente. Les personnes et les situations qui ne vibrent plus à cette fréquence s’éloignent naturellement, tandis que de nouvelles opportunités, bien plus alignées, apparaissent comme par magie. C’est un processus qui peut être inconfortable au début, car il implique de faire le deuil de certaines relations. Mais le résultat est une libération incroyable et la création d’un environnement — personnel et professionnel — qui soutient votre croissance au lieu de la freiner. Vous cessez de vous contenter de relations ‘bas de gamme’ pour n’accepter que l’excellence. Ce n’est pas de l’arrogance, c’est de l’amour-propre, et c’est le carburant le plus puissant pour une hypercroissance saine et durable.
Le grand ménage relationnel : quand les bonnes personnes restent (et les autres partent)
Dès que j’ai commencé à recadrer, à redéfinir ce qui était acceptable, le tri s’est fait de lui-même. C’était fascinant à observer.
‘Les personnes qui me correspondaient pas, les personnes qui ont senti que je prenais enfin et que j’incarnais cette posture d’eux-même ont dit ‘je sens que je suis pas assez à la hauteur ou j’ai plus ma place.’ Et c’était le cas.’
Auparavant, je laissais des gens occuper une place qui n’était plus la leur, simplement parce que j’avais peur de me retrouver seule, de devoir reprendre leurs tâches, de les blesser. En faisant de moi ma priorité, j’ai compris que ces peurs étaient des illusions. En réalité, en gardant des personnes qui n’étaient pas à leur place, je me blessais moi-même et je ralentissais toute l’entreprise. En posant des cadres clairs, des process et des règles pour des relations ‘safe’ et transparentes, j’ai permis à chacun de se positionner. Ceux qui étaient prêts à grandir avec moi se sont ressaisis. Ceux qui n’étaient pas au niveau sont partis, souvent de leur propre initiative. Ce ‘ménage’ n’est pas un acte de cruauté, c’est un acte de clarté. Il crée l’espace nécessaire pour que les bonnes personnes, les vrais ‘players’, puissent entrer dans votre vie.
Attirer des ‘High Players’ : créer un écosystème d’excellence
La conséquence directe de ce ménage est l’attraction de ce que j’appelle des ‘high players’. Que ce soit dans mes équipes, mes collaborations ou mes relations, je ne veux plus de personnes qui me tirent vers le bas. Je veux des gens qui sont à mon niveau de conscience, qui partagent mes valeurs d’excellence et de respect.
‘Comment je peux avoir une entreprise en hypercroissance qui génère des milliers d’euros et me contenter de relations, de collaboration bas de gamme qui ne respecte pas qui je suis ?’
La question est rhétorique. C’est impossible. Votre succès extérieur est le miroir de votre standard intérieur. En élevant vos standards personnels, vous élevez naturellement la qualité des personnes que vous attirez. Des collaborateurs proactifs qui anticipent vos besoins, des clients qui respectent votre valeur et investissent dans vos offres haut de gamme, des partenaires qui vous élèvent. C’est parce que je suis devenue cette source d’abondance, ancrée dans une sécurité et une solidité intérieures, que les gens paient pour cette énergie. Ils n’achètent pas seulement un service, ils investissent dans une confiance, une vision, un leadership. Votre entourage détermine votre futur. Si vous restez petite, c’est souvent parce que vous recrutez petit, vous déléguez petit, vous pensez petit. Osez voir grand pour vous-même d’abord, et le monde vous renverra cette grandeur.
Vous êtes la source de l’autorisation : reprenez votre pouvoir maintenant
Si je devais résumer cette transformation en une seule phrase, ce serait celle-ci : on s’autorise à agir avec vous de la manière dont vous le permettez. C’est une vérité à la fois brutale et incroyablement libératrice. Pendant des années, j’ai regardé à l’extérieur, cherchant à comprendre pourquoi certaines situations se répétaient, pourquoi certaines personnes ne me respectaient pas. La réponse n’était pas en eux, elle était en moi. Comme on me l’a dit un jour : ‘Prends la caméra, mets-la sur toi’. Qu’est-ce que vous autorisez ? Qu’est-ce que vous tolérez en silence ? Avant de blâmer l’autre, demandez-vous quelle porte vous avez laissée ouverte. L’autre jour, une personne me disait : ‘J’ai un entourage toxique qui ne m’élève pas’. Ma réponse a été directe : ‘C’est toi qui autorises cet entourage toxique. C’est toi qui autorises qu’on te rabaisse, qu’on te marche dessus’.
Ça fait mal, je le sais. Mais c’est dans cette prise de responsabilité totale que réside votre pouvoir de tout changer. Travailler sur soi, sur la source de qui l’on est, voilà ce qui transforme une vie et un business bien plus que n’importe quelle stratégie marketing. C’est ce que j’enseigne dans mes accompagnements, car je ne veux pas seulement des entrepreneures avec des entreprises abondantes financièrement. Je veux des leaders qui incarnent la liberté d’être, qui possèdent une énergie inébranlable parce qu’elles savent précisément de qui elles s’entourent et qu’elles ne négocient plus leur bien-être. Cette clarté, cette fermeté intérieure, vaut des millions d’euros sur votre compte en banque, mais elle vaut surtout une vie vécue dans la joie, la puissance et le respect de soi. Alors, la question que je vous pose aujourd’hui est simple : qu’allez-vous cesser d’autoriser dans votre vie, dès maintenant ? Votre hypercroissance commence par cette décision.
FAQ : Questions fréquentes sur la posture de leader et la manifestation de l’abondance
Comment savoir si je négocie trop avec moi-même en tant qu’entrepreneure ?
Vous savez que vous négociez avec vous-même lorsque vous ressentez un décalage persistant entre ce que vous savez être juste pour vous et ce que vous faites réellement. Cela se manifeste souvent par un sentiment de frustration ou de drainage énergétique après certaines interactions. Le signe le plus puissant reste votre corps. Des tensions inexpliquées, des maux de tête, des problèmes de peau ou digestifs peuvent être le cri d’alarme de votre corps face à des situations où vos limites sont bafouées. Si vous vous surprenez à justifier le comportement inacceptable d’un client ou d’un collaborateur, ou si vous repoussez constamment une conversation difficile, vous êtes en pleine négociation contre vous-même.
‘Et tu vois quand j’en parle, ça me pousse, je vais peut-être ralentir mais je sentais et j’ai compris que je négociais avec moi-même. Surtout quand j’ai eu plusieurs mots physiques.’
Quelle est la première étape pour incarner une véritable posture de leader ?
La toute première étape est un travail d’introspection pour définir avec une clarté absolue ce qui est non-négociable pour vous. Prenez le temps de lister vos valeurs fondamentales, vos limites en matière de communication, de respect, d’engagements. C’est un travail qui se fait seul, avec vous-même, avant même d’impliquer les autres. Il s’agit de décider intérieurement quel type de relations vous souhaitez construire et quel comportement vous n’accepterez plus. Cette décision interne est le socle de votre nouvelle posture. C’est seulement lorsque vous êtes parfaitement claire avec vous-même que vous pouvez communiquer ce cadre aux autres avec calme et assurance.
‘Intérieurement avant de le dire, tu n’as pas pris ta posture avec toi-même de ce qui est négociable et ce qui n’est pas négociable.’
Pourquoi ai-je peur d’être perçue comme ‘la méchante’ en manageant mon équipe ?
Cette peur est très répandue, surtout chez les femmes entrepreneures, et elle est souvent liée à des blessures profondes comme la peur du rejet ou de l’abandon. Nous sommes souvent conditionnées à être aimables, à rechercher l’harmonie et à prendre soin des autres. Le rôle de ‘chef d’entreprise’ qui doit parfois prendre des décisions difficiles, recadrer ou se séparer de collaborateurs peut sembler en totale contradiction avec cette identité. On craint que poser des limites fermes soit perçu comme de la méchanceté et que, par conséquent, on ne soit plus aimée ou que notre équipe nous quitte. C’est une confusion entre être respectée et être aimée à tout prix.
‘J’aime pas manager, j’aime pas donner des ordres, je veux pas être la méchante et j’ai toujours ce rôle là […] Par peur de ne pas être aimé. par peur que mes équipes me disent ‘Oh ben non, tu es un peu trop stricte […] je te quitte, je m’en vais.’ l’abandon, tu sais cette fameuse blessure.’
Comment recadrer un collaborateur ou un membre de son équipe sans créer de conflit ?
Le secret est d’adopter une communication directe, factuelle et responsabilisante. Il ne s’agit pas d’attaquer la personne, mais de parler de l’impact de ses actions sur l’entreprise et sur vous. Exprimez clairement ce que vous avez observé et ce que vous avez ressenti, en utilisant le ‘je’. Ensuite, et c’est le point crucial, rendez-lui la responsabilité du problème et de la solution. Au lieu de dicter ce qu’il faut faire, posez la question : ‘Face à cette situation, quelle solution me proposes-tu ? Comment vas-tu t’assurer que cela ne se reproduise plus ?’. Cette approche transforme une confrontation potentielle en une conversation constructive qui responsabilise votre interlocuteur et le pousse à s’engager.
‘Je lui redonne, je lui laisse porter sa responsabilité et apporter une solution. C’est pas à moi de réfléchir à une solution. Je fais pareil maintenant dans mon équipe. […] Apporte-moi une solution. Avant, je portais le poids, les émotions, le comment elle va le prendre, qu’est-ce qu’elle va penser ? Aujourd’hui c’est fini.’
En quoi le fait de poser mes limites peut-il attirer l’abondance financière ?
Poser ses limites est un acte qui renforce votre sécurité intérieure et augmente votre fréquence vibratoire. Lorsque vous êtes solide, claire et que vous vous respectez, vous dégagez une énergie de confiance et de grande valeur. Les clients, en particulier les clients haut de gamme, ne paient pas seulement pour une compétence, mais pour un leadership, une certitude. En refusant de négocier votre bien-être et vos standards, vous devenez magnétique pour des personnes qui fonctionnent sur le même niveau d’exigence et de respect. Ils sentent que vous êtes une source fiable et puissante, et sont prêts à investir en conséquence. L’abondance financière est une conséquence directe de l’abondance intérieure.
‘Je préserve mon énergie. Je suis magnétique et j’attire des entrepreneurs qui sont prêts à investir dans des accompagnement et des expériences haute gamme avec moi parce que je suis une source d’abondance qui est en telle sécurité intérieure et dans une telle solidité intérieure que c’est OK. Et on paye pour ça.’
Qu’est-ce qu’un ‘high player’ et comment puis-je en attirer dans mon entourage professionnel ?
Un ‘high player’ est une personne, que ce soit un collaborateur, un partenaire ou un client, qui opère à un haut niveau de conscience, de responsabilité et d’excellence. C’est quelqu’un qui n’a pas besoin d’être micro-managé, qui prend des initiatives, qui cherche des solutions et qui est aligné avec votre vision et vos valeurs. Pour attirer de tels individus, le principe est simple : vous devez d’abord devenir vous-même un ‘high player’. Cela signifie incarner les standards que vous exigez des autres. En cessant de tolérer la médiocrité, en communiquant clairement vos attentes et en maintenant un cadre d’excellence, vous créez un environnement où seuls les ‘high players’ se sentent à leur place et s’épanouissent.
‘Je veux des high player dans mes équipes, je veux des player dans mes relations. C’est cette personne qui a un niveau de ton niveau. Je veux quelqu’un qui est au niveau de ma conscience.’
Que signifie ‘être la source de l’autorisation’ dans mes relations ?
Cela signifie prendre la responsabilité à 100% de la façon dont les autres se comportent avec vous. Ce n’est pas une question de culpabilité, mais de pouvoir. Les gens testent constamment les limites. S’ils les franchissent et qu’il n’y a aucune conséquence, vous leur avez donné l’autorisation de continuer. Être la source de l’autorisation, c’est comprendre que par vos actions, vos paroles, et même vos silences, vous enseignez aux autres comment ils peuvent vous traiter. Si vous acceptez un manque de respect une fois, vous autorisez qu’il se reproduise. En reprenant ce pouvoir, vous pouvez consciemment décider de ne plus donner cette autorisation en posant des limites claires dès la première occurrence.
‘On s’autorise à avoir un comportement avec toi. On s’autorise à agir avec toi parce que tu le permets. […] tu es la source de l’autorisation.’




