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#113 > AI > Utilisez l’IA avant qu’elle vous vire ?

Épisode diffusé le 7 mars 2025 par Bannouze : Le podcast du marketing digital !

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Utiliser l’IA avant qu’elle ne vous remplace : le guide pratique

L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de science-fiction, mais une réalité qui bouscule notre quotidien professionnel. La question n’est plus de savoir si elle va impacter nos métiers, mais comment s’en servir pour ne pas être dépassé. C’est le cœur du sujet de cet épisode, intitulé « Utiliser l’IA avant qu’elle vous vire ». Pour en discuter, Laurent reçoit Marie, consultante en marketing digital et fondatrice du collectif Shift Forward, qui a très tôt pris le virage de l’IA générative. Elle nous partage son expertise et ses meilleures pratiques pour faire de l’IA un véritable allié au quotidien. « Quand l’IA générative est arrivée, bah je me suis rendu compte que mes clients allaient avoir le même genre de problématique pour suivre », explique-t-elle. Alors, comment intégrer ces outils dans sa routine journalière ? Quels logiciels privilégier et pour quels usages ?

Le cockpit de l’expert : quels outils IA professionnels pour une productivité quotidienne ?

Loin de se limiter à un seul outil, Marie jongle avec un arsenal d’intelligences artificielles pour optimiser son travail. Elle nous dévoile sa « stack » personnelle, une combinaison réfléchie des meilleures plateformes du marché. « Au quotidien je jongle entre GPT, Claude, Gemini pour les LLM qui font un peu de tout et puis après en complément, je vais aller utiliser du Perplexity, des outils de de type de notes lors de mes rendez-vous qui me sont extrêmement utiles et puis après des outils sur la génération de visuel pour ma communication. » Chaque outil a sa spécialité, et savoir quand utiliser l’un plutôt que l’autre est la première clé de l’efficacité.

ChatGPT : le couteau suisse généraliste et polyvalent

Pour Marie, il n’y a pas de débat, ChatGPT reste le pilier central de son utilisation de l’IA. « GPT, je dirais que c’est le number one dans mes usages du quotidien. Il est très bon en généraliste. » Pour elle, cet outil répond à la majorité de ses besoins, que ce soit pour « l’analyse de documents, des recherches approfondies sur le web, il est très bon sur du raisonnement, sur de la créativité ». Mais comme tout outil puissant, il a ses limites. Son principal point faible ? Sa fenêtre contextuelle. Marie illustre ce concept avec une grande clarté : « le concept de la fenêtre contextuelle, c’est que un chat GPT va pouvoir analyser un certain nombre de pages […] jusqu’à ce qu’il arrive à un point où il va plus prendre en considération ce qui s’est dit en amont d’une conversation et pas vous prévenir. » Pire encore, si vous lui donnez un PDF de 100 pages sur les tendances marketing, « il va analyser les premières pages et les dernières, il va pas vous dire qu’il a pas pris le milieu. » Une limite cruciale à connaître pour éviter les erreurs d’analyse.

Gemini : le spécialiste de la vidéo et du contexte élargi

C’est précisément là où ChatGPT montre ses faiblesses que Gemini entre en jeu. « C’est là que Gemini m’intéresse, parce qu’il a la plus large fenêtre contextuelle », souligne Marie. Cette capacité à analyser de très grands volumes de texte sans perdre le fil est un atout majeur. Mais ce n’est pas tout. Gemini possède une compétence unique que les autres n’ont pas : l’analyse vidéo. Marie donne un exemple concret de son utilisation : « Si je veux par exemple documenter un process, je veux faire un petit Loom vidéo, je le donne, je le télécharge, je le donne à Gemini et il va me documenter par écrit un peu ce que j’ai montré. » L’autre force de Gemini est son intégration profonde dans l’écosystème Google, un avantage considérable pour ceux qui, comme Marie, utilisent la suite Google. « Dans mon drive, sur le côté de mes documents sur Google Drive, Google Sheets, Google document, il peut par rapport à ce qui se trouve dedans, il va même faire des rapprochements entre des documents qui sont dans mon drive. »

Claude : le maître de la plume pour un style éditorial sur-mesure

Si ChatGPT est le généraliste et Gemini le spécialiste du contexte, Claude est l’artiste. Marie réserve cet outil à des usages très spécifiques liés à la création de contenu. « J’en ai que j’ai créé sur Claude pour des usages très spécifiques qui sont liés à l’éditorial, c’est-à-dire à de la création de textes, de script de vidéos, de contenu. » Pourquoi ce choix ? « Claude reste au-dessus sur la capacité à s’approprier un style d’écriture, à proposer des choses qui se rapprochent de la façon dont j’aurais fait mes tours de phrases. » Que ce soit pour sa newsletter ou des publications LinkedIn, Claude lui permet de gagner un temps précieux en générant un premier jet de qualité, qu’elle n’a plus qu’à affiner. C’est l’outil idéal pour quiconque cherche à allier productivité et fidélité stylistique.

Sécurité et personnalisation : les bonnes pratiques pour une intégration IA réussie

Adopter l’IA en entreprise ne se résume pas à choisir les bons outils. Il faut aussi maîtriser les bonnes pratiques, notamment en matière de sécurité des données et de personnalisation des usages pour décupler son efficacité.

La question de la confidentialité : faut-il avoir peur de l’IA ?

Face à un outil comme Gemini qui analyse l’intégralité d’un Google Drive, la question de la confidentialité est légitime. Laurent demande à Marie si cela ne lui « fait pas un peu flipper ». Sa réponse est pragmatique. D’une part, les abonnements payants offrent des garanties : « Théoriquement, tu es en abonnement payant, tu peux bloquer le fait qu’il utilise tes données pour son entraînement. » D’autre part, la prudence est de mise. La règle d’or est de ne jamais lui fournir de données sensibles brutes. « Dès lors que tu veux lui faire analyser des documents confidentiels, bah il faut uploader des documents qui sont anonymisés. C’est parmi les bonnes pratiques que tu apprends quand tu prends en main cet outil. » Il s’agit de retirer les informations personnelles et de ne conserver que la substance nécessaire à l’analyse.

La mémoire de ChatGPT : un « game-changer » pour l’efficacité

Une fonctionnalité a particulièrement changé la donne pour Marie : la mémoire de ChatGPT. « Pour moi, ça a vraiment débloqué pas mal de choses dans une période où j’étais passé complètement sur Claude, je suis revenu à GPT quand la mémoire est arrivée parce que tu n’as pas besoin de te répéter. » Cette capacité de l’IA à retenir des informations sur vous, votre métier, vos offres, d’une conversation à l’autre, est un gain de temps considérable. Plus besoin de réexpliquer le contexte à chaque nouvelle tâche. « En amont, il va retenir ce que je fais dans la vie, mes offres, mes services. J’ai pas besoin à chaque fois que je crée un assistant de de l’indiquer dedans. Donc c’est juste super pratique. »

Agents personnalisés : la clé pour éviter la « course à l’échalote » des outils

Face à l’explosion d’outils IA qui sortent chaque jour, souvent décrits comme révolutionnaires sur YouTube, Marie prône une approche plus réfléchie. Elle met en garde contre la « course à l’échalote », car « généralement, ils sont tous branchés à chat GPT et c’est juste des dérivations finalement ». Sa solution ? Créer soi-même ses propres assistants spécialisés directement au sein des plateformes comme ChatGPT, Claude ou Gemini. « Un modèle niche, ça va être des assistants que tu vas entraîner sur tes besoins en fait. » Plutôt que de multiplier les abonnements, il est plus puissant d’apprendre à configurer un agent pour une tâche récurrente. Selon elle, « ça sera jamais mieux que quand tu le crées toi-même pour ton propre besoin. »

Comment débuter avec l’IA au travail ? La méthode pas à pas pour les néophytes

Pour « Monsieur ou Madame Michou » qui se sent dépassé par la vitesse à laquelle tout évolue, par où commencer ? Comment s’y mettre sans se sentir submergé ? Marie propose une approche centrée sur l’humain plutôt que sur la technologie.

L’infobésité : comment ne pas se noyer sous l’actualité de l’IA

Le premier conseil est de ne pas essayer de tout suivre. « Ça bouge très très vite. Donc tu vas avoir pas mal de newsletter de de créateur de contenu qui vont te proposer une veille sur tout ce qui sort. Mais je dirais que pour le tout venant, c’est trop d’information en fait. C’est ingeste possible. » La solution est de devenir sélectif et de trouver des sources spécialisées. « Ce qu’il faut, c’est des tout de suite davantage des curateurs sur votre domaine. Il y a des créateurs de contenu qui vont partager plus des cas d’usage pour les avocats, les juristes par exemple. » Identifier des experts qui filtrent l’information pour votre secteur d’activité est la première étape pour y voir plus clair.

Le point de départ, ce n’est pas l’outil, c’est vous

L’erreur la plus commune est de partir des fonctionnalités des outils. Marie insiste sur le fait qu’il faut inverser la démarche. Le vrai point de départ, c’est une introspection sur son propre travail. « On va plutôt dire bon bah c’est quoi ton quotidien? de la même façon que ton nutritionniste te dirait bon bah note tout ce que tu manges dans une journée. » Il faut documenter ses propres tâches, celles qui sont chronophages, répétitives ou peu agréables. « Le plus grand service qu’on puisse vous rendre, c’est de se faire ce travail avec vous-même de documenter si j’avais un stagiaire demain ou si je fais une passation pour que quelqu’un me remplace sur mon job, qu’est-ce que je lui dirais ? » Une fois ce travail d’auto-analyse effectué, les cas d’usage pour l’IA apparaîtront de manière évidente et naturelle. « Vous allez trouver des plus beaucoup plus facilement partant de vos propres besoins plutôt qu’en partant des fonctionnalités dédiées aux outils. »

L’impact de l’IA sur les métiers : menace ou opportunité ?

L’intitulé du podcast est provocateur mais pertinent. L’IA est-elle une menace pour l’emploi ou une formidable opportunité ? Pour Marie, la réponse est claire : c’est un catalyseur de transformation qui creuse déjà des écarts.

Un fossé se creuse entre les entreprises agiles et les autres

« Le problème qui va se poser, c’est quand tu vas avoir des concurrents qui auront pas attendu que ça devienne un sujet mainstream pour l’attaquer. » Marie observe un « fossé énorme » qui se creuse, notamment dans le monde des agences. D’un côté, celles qui investissent pour former leurs équipes et intégrer l’IA. De l’autre, celles qui attendent. Le problème, c’est que les clients, eux, n’attendent pas. « Les clients, c’est des grands groupes, ils sont à peu près tous formés, ils ont compris ce qu’on peut faire avec, ils ont surtout compris que à budget, ils peuvent faire plus de choses plus rapidement pour moins cher. » L’IA n’est donc pas seulement un outil, c’est « un catalyseur pour changer les façons de travailler, les attentes des consommateurs, les attentes de vos clients. »

Le nouveau pétrole : comment l’IA transforme vos données dormantes en avantage compétitif

L’un des plus grands potentiels de l’IA réside dans l’exploitation des données internes, souvent sous-utilisées. « Les agences qui vont exploiter la donnée issue de leur historique client ou qui vont exploiter la donnée issue de leur propre campagne créative pour créer leur propre modèle… Il y a vraiment une opportunité d’exploiter la donnée avec l’IA. » Beaucoup d’entreprises, agences ou non, « dorment sur des données qui valent énormément. » C’est là que se situe le véritable avantage compétitif futur. Alors que les IA généralistes se basent sur des données publiques, la différenciation viendra de la capacité à créer des modèles « niche » alimentés par des données propriétaires. « Le vrai avantage compétitif, il vient de quand tu as compris que tu dors sur potentiellement le nouveau pétrole », conclut Marie.

Le cas concret du community manager : un métier réinventé par l’intelligence artificielle

Pour illustrer concrètement cette transformation, Marie prend l’exemple d’un métier qu’elle connaît bien pour l’avoir exercé : celui de community manager. C’est une parfaite démonstration de la manière dont l’IA automatise certaines tâches pour en valoriser d’autres.

De la journée de reporting à quelques secondes

Marie se souvient de l’époque où le reporting mensuel était une tâche laborieuse. « Ça s’ait une journée par client en agence à créer un bilan des performances du mois. Une journée, 8h, pour aller chercher les meilleurs postes, analyser pourquoi ça a marché et cetera. » Aujourd’hui, ce travail est radicalement transformé. « Aujourd’hui avec l’IA, mais ça se fait en une fraction de seconde. Tes dashboard, tu nourris, tu donnes des informations à Claude, il génère les dashboard. » L’automatisation des tâches analytiques et répétitives est l’un des gains de productivité les plus spectaculaires offerts par l’IA.

Vers un rôle plus créatif et stratégique

Cette automatisation ne rend pas le community manager obsolète, bien au contraire. Elle déplace la valeur de son travail. « Tout ce que tu attends de ton community manager, c’est pas nécessairement qu’il soit le meilleur data analyste mais par contre que tu attends de lui, c’est qu’il soit peut-être créatif, trouver des façons intelligentes de capitaliser sur des choses qu’ont marché. » Libéré du temps de reporting, il peut se concentrer sur la stratégie et la création. Les nouveaux outils IA lui donnent même une autonomie inédite. « Tu le formes à Midjourney, tu fais des choses super qui suffisent à pas mal d’usages social média. » Des outils comme Fleepik permettent même de générer et d’animer des visuels facilement. C’est, comme le résume Laurent, « le paradis pour les gens curieux », qui peuvent désormais débloquer des compétences techniques qui leur étaient auparavant inaccessibles.

Pour aller plus loin : les ressources recommandées par Marie

Pour conclure, Marie partage quelques pistes pour rester à jour et continuer à apprendre. Elle cite bien sûr sa propre newsletter, « Exploration sur Substack », destinée principalement aux marketeurs avec des tests d’outils et des cas d’usage concrets. Pour ceux qui veulent une veille plus exhaustive, elle recommande de suivre des experts comme « Manuel Vivier » ou « Gira sur Substack ». Mais au-delà des sources externes, son conseil final est un appel à l’action : « Il faut aussi se garder du temps pour tester soi-même. C’est la meilleure façon d’apprendre en fait. » On ne peut pas monter en compétence par procuration. Il faut mettre les mains dans le cambouis, expérimenter, et surtout, ne pas perdre le fil, car comme elle le prévient : « vous vous clignez les yeux et il y a déjà eu X updates et c’est ça peut être un peu intimidant par moment. »

FAQ : Utiliser l’IA en entreprise

Quels sont les meilleurs outils IA pour un usage professionnel quotidien ?

Pour un usage professionnel, il est recommandé d’adopter une approche multi-outils. Un trio efficace se compose de ChatGPT pour sa polyvalence généraliste, Gemini pour sa large fenêtre contextuelle et son analyse vidéo, et Claude pour sa finesse dans la rédaction et l’appropriation d’un style d’écriture.

« Au quotidien je jongle entre GPT, Claude, Gemini pour les LLM qui font un peu de tout et puis après en complément, je vais aller utiliser du Perplexity, des outils de type de notes lors de mes rendez-vous qui me sont extrêmement utiles. » – Marie

Quelle est la différence majeure entre ChatGPT, Gemini et Claude ?

ChatGPT est un excellent outil généraliste pour le raisonnement et la créativité. Gemini se distingue par la plus grande fenêtre contextuelle du marché (idéale pour analyser de longs documents) et sa capacité unique à analyser des vidéos. Claude, quant à lui, est supérieur pour les tâches éditoriales, capable d’imiter un style d’écriture avec une grande fidélité.

« Claude reste au-dessus sur la capacité à s’approprier un style d’écriture, à proposer des choses qui se rapprochent de la façon dont j’aurais fait mes tour de phrases. » – Marie

Comment utiliser l’IA en toute sécurité avec des données confidentielles ?

La règle d’or est de ne jamais soumettre de données sensibles brutes. Il est impératif d’anonymiser les documents en retirant toutes les informations personnelles identifiables avant de les uploader. De plus, les abonnements payants aux services d’IA offrent généralement une option pour empêcher l’utilisation de vos données pour l’entraînement des modèles.

« Dès lors que tu veux lui faire analyser des documents confidentiels, bah il faut uploader des documents qui sont anonymisés […] retirer ce qui est sensible et ne garder que ce que tu as besoin d’analyser. » – Marie

Faut-il utiliser de nombreux outils IA spécialisés ou un seul outil généraliste ?

Il est plus efficace de maîtriser les outils généralistes (ChatGPT, Claude, Gemini) et de créer ses propres assistants personnalisés pour des tâches récurrentes. Cette approche est plus puissante et durable que de s’éparpiller en testant la multitude d’outils de niche qui sont souvent de simples surcouches de ces technologies de base.

« Plutôt que de d’avoir X outils différents bah tu peux tout faire avec si tu à condition que tu saches exactement faire […] ça sera jamais mieux que quand tu le crées toi-même pour ton propre besoin. » – Marie

Par où commencer pour intégrer l’IA dans son travail quand on est débutant ?

Il ne faut pas commencer par l’outil, mais par soi-même. La première étape est de documenter ses propres tâches quotidiennes et hebdomadaires, en identifiant celles qui sont répétitives, chronophages ou peu agréables. C’est à partir de cette analyse personnelle que les cas d’usage pertinents pour l’IA émergeront naturellement.

« D’abord il faut se comprendre, prendre le temps de s’arrêter sur ce qu’on fait et ensuite s’intéresser effectivement aux outils et leur et et puis vous allez trouver des des des plus beaucoup plus facilement partant de vos propres besoins. » – Marie

L’IA va-t-elle vraiment remplacer mon travail ?

L’IA est moins un outil de remplacement qu’un catalyseur de transformation. Elle ne supprime pas les métiers mais fait évoluer les compétences requises. Elle automatise les tâches à faible valeur ajoutée (comme le reporting), ce qui permet aux professionnels de se concentrer sur des aspects plus stratégiques et créatifs de leur travail, où la valeur humaine est plus grande.

« En fait, c’est surtout un catalyseur pour changer les façons de travailler, les attentes des consommateurs, les attentes de vos clients. » – Marie

Comment l’IA peut-elle donner un avantage concurrentiel à mon entreprise ?

Le principal avantage concurrentiel vient de l’exploitation des données propriétaires de l’entreprise. En entraînant des modèles d’IA sur votre historique client, vos données de campagnes ou vos processus internes, vous pouvez créer des outils sur-mesure et une intelligence unique que vos concurrents ne pourront pas répliquer, car ils n’ont pas accès à ce « nouveau pétrole ».

« Le vrai avantage compétitif, il vient de quand tu as compris que tu dors sur potentiellement le nouveau pétrole et que si tu apprends à bien l’utiliser […] bah déjà tu gagnes un un temps d’avance. » – Marie

Comment l’IA transforme-t-elle concrètement le métier de community manager ?

L’IA transforme le métier de community manager en automatisant les tâches fastidieuses comme la création de rapports de performance, qui peuvent passer d’une journée de travail à quelques secondes. Cela libère du temps pour des activités à plus forte valeur ajoutée comme la stratégie de contenu, la créativité et l’expérimentation, tout en donnant accès à des outils de création visuelle (images, vidéos) sans nécessiter une expertise de graphiste.

« Tout ce que tu faisais laboureusement avec ton Excel ou à rentrer dans un PowerPoint, maintenant tu files le template de de ton reporting avec les variables à remplacer et il a le fait. » – Marie


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